Glisse Émile,
Chies tes mots sucrés
De colères stériles
Et de vers codés
Si l’abondance nuit
Le manque étreint
Alors savoure ce mépris
Ou rate le train.
Projettes Guy
Ta colère, une parole
Et tu seras guéri
Dépêche, grouille, décolle
Trois petits grammes
Que deux cents volent
Francoisetfier un soir de colère en avril 2009.
mardi 16 novembre 2010
Pain de sucres
aaaaaaaaaaaaaaaaa
Libellés :
François et fier de l'Être
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire