Elle lit,
Un gros recueil de vélin blanc posé sur sa robe d’organdi.
Elle vit,
Dans un jardin de rose, assise sous un grand chêne à l’abri.
Elle lie,
D’un doigt rêveur une mèche de cheveux décolorés, blondis.
Elle vit,
Le temps, les saisons qui passent comme un songe, une rêverie.
Elle lit,
Vingt minutes, le monde au quotidien dans un métro empuanti.
Elle vit,
Dans le champs de béton perdue dans une banlieue décrépie.
Elle lie,
D’un doigt rêveur les lacets fermant sa besace avachie.
Elle vit,
Le temps, les saisons qui passent comme un songe, une rêverie.
Francoisetfier(12/10/2008)
mardi 16 novembre 2010
Elle lit
aaaaaaaaaaaaaaaaa
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François et fier de l'Être
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