C’est la rosée qui pleure sur le globe.
L’autre de pourpre fleuri,
crie sa honte et son mépris
au revers ourlé de sa fraiche robe.
Elle offre au petit jour,
Ce qui au soir était refusé :
la douceur de ses atours
si impudiquement exposés.
Reposant, alanguie mais sans grâce,
à demie chaussée sur le gazon.
Elle dégingande sa pamoison,
Griffée, mordue par un vorace.
Téléchargé par francois et fier de l'Être le 16 aoû 06 à 1:19 (CET).
mardi 16 novembre 2010
Fée d'hivers
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