Sur ma peau, la trace d'un baiser,
des marques, quelques rouges sillons,
bien plus larges qu'un succon,
un oublieux résidu de notre passé.
Alors,tu promenais, à tes lévres,
amoureusement, le stick carmin,
dessinant là toutes mes fièvres
de langoureux traits purpurins.
S'affichait une moue dédaigneuse
la pulpe poussée par le crayon
laissant voir des dents bécheuses
prètes à mordre l'invitation.
Car c'est un fruit si délicieux
qui devant la glace s'y murit
et si j'étais moi même malicieux
je demanderai qui s'en nourrit
Francoisetfier( Février 2010)
dimanche 6 juin 2010
Rouge à lévre
aaaaaaaaaaaaaaaaa
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François et fier de l'Être
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