J'étais encore un enfant quand on s'est rencontré
J'ai mis mon adolescence à comprendre combien j't'aimais
Le jour où j't'ai roulé ma première galoche
Tu m'as tapé dans l'oeil avant que j't'ai dans la poche
Depuis ma vie se résume à une course poursuite
Chaque fois que je tente de t'effleurer dis-moi pourquoi tu prends la fuite ?
Avec toi ça va ça viens sans toi je suis un vaurien
En avoir pour son toit j'aimerai tant
D'ailleurs le temps c'est du toit ,du chagrin j'en ai gros sur la patate
J'croque du toi sauf quand tu craques, j'ai les bourses qui s'rétractent
Ta courbe croissante m'enchante
Mais ta chute de rein me donne des vertiges et des crampes
T'es la personne la plus ouverte, tu connais pas d'frontières
Tu parles toutes les langues et essaies d'briser les barrières Snob, la pauvreté te fait horreur
Je t'offrirai tous les parfums toi qui n'as pas d'odeur
Tu fais pas l'bonheur, procures du plaisir
Et plus j'te désire et plus tu m'fais courir
J'te tire mon chapeau
Tu m'fais baver de rondes pièces et je t'aime autant que j'te déteste
T'es fraîche et bien roulée pépette
Tout le monde te cours après et j'arrive toujours le dernier
Tu m'fais tourner la tête
Arrête de jouer à cache-cache où j'finirai par te coffrer
Arrête ...
Arrête, j'suis franc, j'en veux pas qu"a ton écu poupée,
Quand apprendras-tu à te poser ?
Ne me quitte pas,
Les barres est-il de placement fertile,
Donnant plus de blés qu'un meilleur avril,
Je ferais un domaine où tu seras reine, où tu seras loi,
Et même si ce domaine existe déjà…
Imprévisible, soudain visible,
D'autres ton pris pour cible,
Reviens dans mes bras,
pour toi je serais crédible.
Au bal, j'tai inviter à ma table,
mais tu m'as snober pour aller danser avec un notable,
Pendant que je me faisais biaiser,
D'autres avaient déjà appris à savoir léser…
Au début, j'étais rongé pas la jalousie,
Et puis, j'ai bien vite compris que tu ne ferais jamais le bonheur d'autrui.
Toutes ces femmes font rêver, mais dans le fond, y'a rien,
Même pas le pape Brikit
tu fonds dans leur mains
A peine, il tombe, tu lorgne déjà sur les voisins…
Tu les rends possessifs, jaloux, radins et mesquins.
T'es partie à la conquête du monde entier
et le monde entier a succomber à tes charmes de papier
Aujourd'hui, le monde entier est à tes pieds,
Mais t'es plus que jamais malheureuse comme les blés.
-jAvA-
vendredi 11 juin 2010
Pépette
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