Soleils De Cire.
Par Bernard De l'Océan
I
Le ciel est devenu au soleil étoilé
L'ombre de t'admirer.
Sa lumière immobile en rêve de clarté
Souffre de conspirer,
II
Dans les écroulements des rêves de lumières
Les éblouissements
Du soir immensément qui s'ombre de matières
Constellées d'océans.
III
Sur l'immobilité de tout ce qui est sombre,
Ce soleil qui pareil
Au rire immensité, fait l'éternité d'ombre
D'un durable vermeil,
IV
Candeur dans la nuit blême au terme du savoir
Stellaire de soupir,
Conspire infiniment que le vent est vouloir
A l'instant de souffrir,
V
Ces candélabres bleus qui brillent dans l'automne
En veilles de pâleurs
Et que la brise berce immense et monotone
De liquides couleurs. . .
VI
Ils font cet archipel de cire qui s'inspire
D'un sublime soleil,
Qui brille étrangement dans tes regards que mire
Un grand soleil pareil.
dimanche 16 novembre 2008
CREPUSCULE**********
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