De contraires en accords composés
Des vies différentes ornées d'innocence
Et par le possible du coeur profond
Voir tout, comprendre tout, juste pour se rassurer.
www.youtube.com/watch?v=_KrF_CvJPYc
Yann Tiersen - La terrasse.
dimanche 30 novembre 2008
Désaccord parfait.
samedi 29 novembre 2008
Saint-Germain-des- Prés - Paris
Il n'y a plus d'après
par Guy Béart
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Maintenant que tu vis
A l'autre bout d'Paris
Quand tu veux changer d'âge
Tu t'offres un long voyage
Tu viens me dire bonjour
Au coin d'la rue Dufour
Tu viens me visiter
A Saint-Germain-des-Prés
Il n'y a plus d'après
A Saint-Germain-des-Prés
Plus d'après-demain
Plus d'après-midi
Il n'y a qu'aujourd'hui
Quand je te reverrai
A Saint-Germain-des-Prés
Ce n'sera plus toi
Ce n'sera plus moi
Il n'y a plus d'autrefois
Tu me dis "Comme tout change!"
Les rues te semblent étranges
Même les cafés-crème
N'ont plus le goût qu'tu aimes
C'est que tu es une autre
C'est que je suis un autre
Nous sommes étrangers
A Saint-Germain-des-Prés
Il n'y a plus d'après
A Saint-Germain-des-Prés
Plus d'après-demain
Plus d'après-midi
Il n'y a qu'aujourd'hui
Quand je te reverrai
A Saint-Germain-des-Prés
Ce n'sera plus toi
Ce n'sera plus moi
Il n'y a plus d'autrefois
A vivre au jour le jour
Le moindre des amours
Prenait dans ces ruelles
Des allures éternelles
Mais à la nuit la nuit
C'était bientôt fini
Voici l'éternité
De Saint-Germain-des-Prés
Il n'y a plus d'après
A Saint-Germain-des-Prés
Plus d'après-demain
Plus d'après-midi
Il n'y a qu'aujourd'hui
Quand je te reverrai
A Saint-Germain-des-Prés
Ce n'sera plus toi
Ce n'sera plus moi
Il n'y a plus d'autrefois
A Saint-Germain-des-Prés
vendredi 28 novembre 2008
db15 Évidence 2008
Fin de cette série.
Un hommage à la poésie, aux poètes, aux surréalistes et plus particulièrement à Robert Desnos, né le 4 juillet 1900 à Paris et mort du typhus le 8 juin 1945 au camp de concentration de Theresienstadt en Tchécoslovaquie.
A homage to poetry, the poets, surrealist and more particularly to Robert Desnos, born on July 4, 1900 in Paris and died of typhus on June 8, 1945 to the concentration camp of Theresienstadt in Czechoslovakia. (The texts, writings by me with the manner of surrealist in “automatic writing”, are untranslatable in English, I think. Sorry for that.)
jeudi 27 novembre 2008
db14 Évidence 2008
Un hommage à la poésie, aux poètes, aux surréalistes et plus particulièrement à Robert Desnos, né le 4 juillet 1900 à Paris et mort du typhus le 8 juin 1945 au camp de concentration de Theresienstadt en Tchécoslovaquie.
A homage to poetry, the poets, surrealist and more particularly to Robert Desnos, born on July 4, 1900 in Paris and died of typhus on June 8, 1945 to the concentration camp of Theresienstadt in Czechoslovakia. (The texts, writings by me with the manner of surrealist in “automatic writing”, are untranslatable in English, I think. Sorry for that.)
mercredi 26 novembre 2008
db13 Évidence 2008
Un hommage à la poésie, aux poètes, aux surréalistes et plus particulièrement à Robert Desnos, né le 4 juillet 1900 à Paris et mort du typhus le 8 juin 1945 au camp de concentration de Theresienstadt en Tchécoslovaquie.
A homage to poetry, the poets, surrealist and more particularly to Robert Desnos, born on July 4, 1900 in Paris and died of typhus on June 8, 1945 to the concentration camp of Theresienstadt in Czechoslovakia. (The texts, writings by me with the manner of surrealist in “automatic writing”, are untranslatable in English, I think. Sorry for that.)
mardi 25 novembre 2008
Des pas dans l'air du temps.
Quand le flambeau du monde
Eclaire sans détours
Mes pas foulant le velours
Légers, flottant sur la douleur
Chemin du tendre en toutes saisons
Dans l'air du temps qui seul délivre.
www.youtube.com/watch?v=KYGGXHrsa0w&feature=related
Katie Melua- Blame it on the moon
lundi 24 novembre 2008
Les affaires...
À la une d'un journal
Que faire de vos titres malades
Et celui qui a mal
On se balance qu'il soit malade
Les affaires avant tout
Amitiés, amours et tendresses
L'important c'est se tenir debout
Surtout éviter la détresse
Réussir dans la vie
Et les jours coulent
Réussir sa vie
Qu'est-ce qui en découle
Une médaille pour la réussite
Regard flou sur les survivants
Nul besoin d'être explicite
Pas de place pour les perdants
Que faire de vos titres malades
Réunissez vos talents insatiables
Toujours plus haut dans les estrades
Crée de la place aux misérables
Continuez d'être vainqueurs
Peu importe l'infortuné
Vous n'avez pas mal au coeur
De voir l'écart s'additionner
(Sue 2007)
dimanche 23 novembre 2008
L'abus qui floue...
Peu importe ce que tu bois
L'abus n'est pas le meilleur choix
Ta vie n'est pas ce que tu crois
C'est important que tu le vois
Toi aussi tu as le droit
De faire des erreurs quelque fois
Ne te floue pas dans tes émois
Lève la tête et choisis toi
Si tu vois flou, si tu chavires
Tu t'empêcheras de devenir
Garde tes meilleurs souvenirs
Reste avec nous pour nous ravir
Refuse les échappatoires
Ne t'enlise pas dans le noir
Si tu as mal fais le savoir
Ne cache pas ton désespoir
Fais confiance la vie est belle
Rallume en toi l'étincelle
Et surtout montre toi tel
Tu es un cadeau du ciel
(Sue 2007)
samedi 22 novembre 2008
Complicité!
Gravés dans mon coeur
Des souvenirs heureux
D'où je puise du bonheur
Pour partager à deux
Aimer c'est donner
Sans se sacrifier
C'est se garantir
Sa part de plaisir
Pour être apprécier
Il faut conserver
Les valeurs en nous
Se tenir debout
Pour pourvoir offrir
D'abord détenir
Le meilleur de soi
S'aimer va de soi
(Sue 2007)
vendredi 21 novembre 2008
Parlons d'amour...
Et si nous parlions d'amour
Enflammions les mots
Étreignions leurs contours
Façonnions des joyaux
S'acharner sur la lettre
Embrasser la voyelle
Tenter de commettre
L'énergie, l'étincelle
Goûter à la luxure
Le temps d'une lecture
Utiliser l'écrit
Pour flirter l'interdit
Devenir la maîtresse
S'engourdir de caresses
Se cajoler l'esprit
Atteindre le paradis
Des frissons sur la peau
Repartir à nouveau
Trouver l'infinitude
En faire son habitude
(Sue 2007)
jeudi 20 novembre 2008
Deux par deux.
Chacun s'attache à son semblable
Mène une vie heureuse et sans histoires
Les oiseaux ont le même oeuf en projet
L'herbe au repos et le semis attendent le même printemps
Où sont les déchirement, cris et larmes
Du jardin intérieur, du coeur et de ses mains vertes
Cultivant ses fleurs et sa corne d'abondance
Arrosés de source qui n'est plus de larmes
Couleurs de l'âme des saisons heureuses
En bouquets offerts au coeur partagé.
www.youtube.com/watch?v=S-vE3siPVTw&feature=related
William Sheller - Un Homme Heureux
mercredi 19 novembre 2008
Instant posé.
Un oiseau voyageur, en quelques bonds alertes
Vient boire aux cavités bleues du destin
Dans l'heureuse beauté de ce monde rassurant
Elle se sent oiseau, fleur, eau vive et lumière
Elle revêt sa robe de pureté première
Et se repose en mon âme silencieusement.
www.youtube.com/watch?v=mO25PNmF2Kg&feature=related
Claude Debussy - La mer.
mardi 18 novembre 2008
Largetto coloré.
Je devine, à travers les couleurs
Le contour subtil des âges accordés
Et dans les lueurs musiciennes
Des mélodies d'enfance en aurore future.
www.youtube.com/watch?v=yvYUcwHoE_8
Julien Clerc - Double enfance
lundi 17 novembre 2008
Hiti dodo ! dans sa position préférée...
Il nous a quitté après I7 ans de vie commune.... de deux ans l'ancètre de Mimine la Savoyarde, elle vit encore 4 ans après ! ....
C'est dure une Savoyarde ! mais lui c'était la malice personnifiée et son plus grand bonheur était de faire pipi dans une panière de linge repassé.... ! je l'ai même un jour trouvé entrain de faire la même la même chose accroupi sur les toilettes .... ! un cas ! mais que je l'aimais !
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MALIN SEDUCTEUR D'OCTOBRE
Automne avait frappé à la porte des saisons,
Automne nostalgique aux éclats de feu !
Eté était chassé, pensées éclairent les fenêtres,
Temps venu de l'âtre attisée,
Famille canfouinée....
Temps venu de les visiter,
Ô Serres ! offrande de couleurs !
Comme chaque année vous nous attendiez!
Bonheur aussi, nous innocents...
Ô surprise, hasard pour complice,
Forcerie ou humus, ramée, fleurs, embaumaient !
Mélange d'effluves de bouquets éclatés...
Azalées, cyclamens et pourquoi pas chrysanthèmes ?
Fragrances suaves,
Parfums simples,
Rendant vivants tréteaux de bois ordinaires....
Ô vision! ...
Les potées bougeaient... !
Elles avaient oeil coquin, brillant ! ...
En paie, comme atours, il en luisait des dizaines !
Oui des yeux égayaient les vasques, les rendaient vivantes
Ces plantes de Brumaire !
Elles ronronnaient pour qui daignait écouter !
Ô magie ! Ô magie !
Non, simples repères d'amour, d'espérance !
Car chatons cachés y folâtraient...
Des gris, des fauves, des blancs, des noirs,
des tout cela à la fois
Tous, sans nom ni race,
Adorables simplement,
Attendrissants tellement ! ...
Ils jouaient à chats-perchés ces chats...
Pour attirer l'attention,
Avec un regard doux, perçant à la fois...
Simplement enjôleur !
Naturellement quémandeur de tendresse, d’hospitalité !
Ô comment y résister ? refuser leur supplique
Dans tes bras mon fils Hiti de suite s'y est lové,
Dix-ans ans il y a ronronné...
Dan
dimanche 16 novembre 2008
CREPUSCULE**********
Soleils De Cire.
Par Bernard De l'Océan
I
Le ciel est devenu au soleil étoilé
L'ombre de t'admirer.
Sa lumière immobile en rêve de clarté
Souffre de conspirer,
II
Dans les écroulements des rêves de lumières
Les éblouissements
Du soir immensément qui s'ombre de matières
Constellées d'océans.
III
Sur l'immobilité de tout ce qui est sombre,
Ce soleil qui pareil
Au rire immensité, fait l'éternité d'ombre
D'un durable vermeil,
IV
Candeur dans la nuit blême au terme du savoir
Stellaire de soupir,
Conspire infiniment que le vent est vouloir
A l'instant de souffrir,
V
Ces candélabres bleus qui brillent dans l'automne
En veilles de pâleurs
Et que la brise berce immense et monotone
De liquides couleurs. . .
VI
Ils font cet archipel de cire qui s'inspire
D'un sublime soleil,
Qui brille étrangement dans tes regards que mire
Un grand soleil pareil.
samedi 15 novembre 2008
db11-evidence-2008
Un hommage à la poésie, aux poètes, aux surréalistes et plus particulièrement à Robert Desnos, né le 4 juillet 1900 à Paris et mort du typhus le 8 juin 1945 au camp de concentration de Theresienstadt en Tchécoslovaquie.
A homage to poetry, the poets, surrealist and more particularly to Robert Desnos, born on July 4, 1900 in Paris and died of typhus on June 8, 1945 to the concentration camp of Theresienstadt in Czechoslovakia. (The texts, writings by me with the manner of surrealist in “automatic writing”, are untranslatable in English, I think. Sorry for that.)
vendredi 14 novembre 2008
PDT
Peler une pomme de terre bouillie de bonne qualité est un plaisir de choix.
Entre le gras du pouce et la pointe du couteau tenu par les autres doigts de la même main, l'on saisit — après l'avoir incisé — par l'une de ses lèvres ce rêche et fin papier que l'on tire à soi pour le détacher de la chair appétissante du tubercule.
L'opération facile laisse, quand on a réussi à la parfaire sans s'y reprendre à trop de fois, une impression de satisfaction indicible.
Francis Ponge (extrait)
Thanks to Senga §
jeudi 13 novembre 2008
mardi 11 novembre 2008
Champagne pour tous !
Quatre choses à souhaiter !
... notre co-administation de PHOTOGRAPHIE ET FRANCOPHONIE avec Diegojack, l'adorable ami !
... notre 310ème membres depuis le 13 juillet 2008 !
... tous les amis des autres groupes, dont certains se retrouvent....
et.... !
... mes 20 ans depuis hier auquels il faut en rajouter honnêtemnt 45 de plus !
Sincèrement à vous tous.
Bisous
samedi 8 novembre 2008
COUCHER DE SOLEIL***********
e Soleil couronné de rayons et de flammes
Redore nostre aube à son tour :
Ô sainct Soleil des Saincts, Soleil du sainct amour,
Perce de flesches d'or les tenebres des ames
En y rallumant le beau jour.
Le Soleil radieux jamais ne se courrouce,
Quelque fois il cache ses yeux :
C'est quand la terre exhalle en amas odieux
Un voile de vapeurs qu'au devant elle pousse,
En se troublant, et non les Cieux.
Jesus est toujours clair, mais lors son beau visage
Nous cache ses rayons si doux,
Quand nos pechez fumans entre le Ciel et nous,
De vices redoublez enlevent un nuage
Qui noircit le Ciel de courroux.
Enfin ce noir rempart se dissout et s'esgare
Par la force du grand flambeau.
Fuyez, pechez, fuyez : le Soleil clair et beau
Vostre amas vicieux et dissipe et separe,
Pour nous oster nostre bandeau.
Nous ressusciterons des sepulchres funebres,
Comme le jour de la nuict sort
Si la premiere mort de la vie est le port,
Le beau jour est la fin des espaisses tenebres,
Et la vie est fin de la mort.
Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ
vendredi 7 novembre 2008
Cascade d'or.
A la face et aux yeux de son céleste miroir
Et dans le coeur serein découvrant son trésor
L'or s'écoule en cascade dans le temps vivace
Teintant dans son eau des torrents écarlates.
www.youtube.com/watch?v=XpAqmXPKQeI&feature=related
Antonio Vivaldi - L'automne.
jeudi 6 novembre 2008
mercredi 5 novembre 2008
A chacun son époque
L'enfant a son enfance
et l'adolescent son adolescence.
L'adulte aurait-il moins de chance,
privé qu'il est d'une "adultance" ?
L'étape pour lui suivante
étant celle du vieillard,
qui aura sa vieillesse
au terme d'une adultération,
je ne vois dans le dictionnaire,
pour l'adulte soucieux de jouir de son ère,
qu'une seule alternative,
qui est celle de l'adultère.
:-)
Bernard
Téléchargé par Bernard Schul le 16 nov 08 à 1:20 (CET).
mardi 4 novembre 2008
Instant suspendu.
Tu retrouves dans l'air la volupté de vivre
Et reçois les baisers du vent qui nous délivre
Je viendrai, sous l'azur et la lumière flottante
Ivre du temps vivace et du jour retrouvé
Insatiablement vers le soleil levé.
www.youtube.com/watch?v=f0G7FJhqgKs&NR=1
Fleetwood Mac - Songbird
Téléchargé par Merlechanteur. le 15 nov 08 à 9:27 (CET).
lundi 3 novembre 2008
Un cadeau original
Avec le mois de novembre, le froid nous rapporte le dilemme annuel du choix des cadeaux de fin d’année. Il n’est ni facile, ni simple de faire plaisir à ses amis et connaissances sans se ruiner dès que ce que l’on offre ne s’adresse plus à une enfant. Ors bien souvent, ce présent, ce cadeau sert de baromètre à la mesure de notre amour ou amitié. Comme le temps, nos bourses ou la crise ne nous permettent pas toujours d’exprimer toute l’intensité que l’on voudrait y mettre, il nous faut faire preuve d’ingéniosité autant que d’originalité pour trouver le présent qui aux yeux de son récipiendaire sera chéri et doté d’une valeur plus grande que celle fixée par les marchands du temple. Vous qui passez sur ce blog plus que tous autres savez combien les mots, les images, la culture même, l’art en général sont susceptible de toucher voir même de bouleverser l’âme , autant de celui qui partage que de celui qui reçoit. Offrir de l’art, c’est ce que nous faisons ici, chacun selon ses moyens, ses gouts ou ses aspirations. Je vous propose donc d’aller faire un tour sur le site de « A Portée d'Art » à l’adresse http://www.aporteedart.fr d’offrir à votre entourage les moyens de l’appréhender, le concevoir et l’exprimer sous la forme de chèque cadeau ouvrant le droit à des cours faciles et ludiques. « A Portée d'Art » organise des cours dans 12 villes de France : Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Metz, Montpellier, Nantes, Nice, Paris, Rennes, Strasbourg et Toulouse. Ils ont inventé ce concept de chèque cadeau qui est valable pour tous les cours et dans toute sles villes. Vous pouvez en plus les imprimer de chez vous. C'est donc un moyen futé d'offrir un cadeau, même à la dernière minute !
Article sponsorisé
dimanche 2 novembre 2008
db08 Évidence 2008
Un hommage à la poésie, aux poètes, aux surréalistes et plus particulièrement à Robert Desnos, né le 4 juillet 1900 à Paris et mort du typhus le 8 juin 1945 au camp de concentration de Theresienstadt en Tchécoslovaquie.
A homage to poetry, the poets, surrealist and more particularly to Robert Desnos, born on July 4, 1900 in Paris and died of typhus on June 8, 1945 to the concentration camp of Theresienstadt in Czechoslovakia. (The texts, writings by me with the manner of surrealist in “automatic writing”, are untranslatable in English, I think. Sorry for that.)
Téléchargé par Didier Bonaventure le 14 nov 08 à 3:12 (CET).
samedi 1 novembre 2008
Branches en fuite.
Abre fuyant suis-je sensible à tes voeux?
Nous endurons tous deux pour avor tant osé
Je n'ai pas plus que toi ni regrets ni remords
La hauteur ne tient pas captive tes volontés
Mon coeur autant que toi demeuront les mêmes
Et combien cet espoir peut nourrir ma tendresse.
www.youtube.com/watch?v=1RBxLNMBBjw&feature=related
Beethoven - Pastorale.