
" Comme du temps de mes pères Les Pyrénées écoutent aux portes Et je me sens surveillé par leur rugueuses cohortes. Le gave coule, paupières basses, ne voulant pas de différence Entre les hommes et les ombres, Et il passe entre les pierres Qui ne craignent pas les siècles Mais s'appuient dessus pour rêver " JULES SUPERVIELLE " Oloron ste Marie " (extrait) Téléchargé par rogerfeugas le 7 sep 10 à 10:49 (CET).
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