lundi 31 mars 2008

db_regards05


db_regards05, première mise en ligne par didier.bonaventure.

Regard... moment passé ;
le mouvement de la vie est figé.
Reste, le souvenir.
C'est la présence et la non présence des autres
qui nous permet de mesurer notre propre réalité.

Copyright : didier bonaventure
www.didier-bonaventure.com

dimanche 30 mars 2008

public transport


public transport, première mise en ligne par Campel.

Here, here,
Everything is kept inside.
So take a chance and step outside.
Pure frustration face to face.
A point of view creates more waves,
So take a chance and step outside.

Ian Curtis - Joy Division

samedi 29 mars 2008

La lucarne...


La lucarne..., première mise en ligne par lollah.

Série: Le tournesol
Music:This love

Elle s'invente ailleurs
Sous un ciel moins gris
Des rêves d'une vie qu'elle imagine
Dans un petit bout de lucarne
Au petit matin tout disparaît
Parce que les rêves sont illusoires
Son âme s'éteind avec eux
Demain sera comme hier
Elle est l'oubliée des mots qu'on lui murmure...

vendredi 28 mars 2008

Vacances d'avril en Haute-Savoie... sur les traces des parents et gdsparents.... au Pays du Mont-Blanc

Vacances d'avril en Haute-Savoie... sur les traces des parents et gds parents.... au Pays du Mont-Blanc
C'est la seconde fois que je mets cette photo qui n'est plus en ma galerie, ni mes albums... mille excuses aux amis qui avaient mis comentaires....
----------

Millésime

Paroles: Julie d'Aimé. Musique: Pascal Obispo, Calogéro 2001 "Millésime"


Sur les coteaux en pentes
Les vallons amoureux
Un rayon de soleil
Est passé sur nous deux
J'attendais de ce ciel
Qu'il me fasse juste un signe
Et je vois mon château
Sortir du cœur des vignes

{Refrain:}
Tu es mon millésime
Ma plus belle année
Pour ce bonheur en prime
Que tu m'as donné
Je suis à jamais ta terre
C'est ça être père

Après autant d'amour
La saison des vendanges
On récolte le fruit
Le meilleur des mélanges
(oh oh)
La bouche est ronde et pleine
Et le nez si discret
Quel prénom allait-on bien pouvoir te donner?

{au Refrain}

Je ne sais pas de quoi
Notre histoire sera faite
Mais je me sens porté
Un jour est une fête
Quelques notes légères
Les regards qui caressent
Et je gagne en amour comme en gagne en noblesse

C'est ça être père...
C'est ça...
C'est ça être père...

jeudi 27 mars 2008

Pavé du Nord


Pavé du Nord, première mise en ligne par francois et fier de l'Être.

Enfer je marche sur tes pavé
C'est pas la vie que j'avais rêvée
Fuyant l'écho de ma colère
Ma femme se tire avec Albert
Mais manque de fion au bout de trois semaines
Cette crème d'anchois me la ramène
Du coup bon sang je vire Monique
Ma belle maîtresse aux seins cosmiques
Elle venait de larguer son beau Dédé
Qui se suicide pour l'emmerder

Extrait de "C'est pas la vie que j'avais révée" P.Perret

mercredi 26 mars 2008

Ingrid est toujours en Colombie

disclaimer

Ingrid betancourt est l'une des 3000 otages de la Colombie.





MOBILISONS-NOUS POUR INGRID BETANCOURT envoyé par agirpouringrid



Article sponsorisé

mardi 25 mars 2008

rencontres avant son voyage


Mon cœur soupire et moi j’aspire …au repos, à la détente et aux magnifiques paysages, ocre, vert, bleus ou turquoises. Coeur qui soupire n'a pas ce qu'il désire. Dès qu’arrivent les premiers jours de juin, tout comme les étudiants, je sens la sève monter en moi et n’aspire plus qu’aux vacances. Le temps s’éternise et je désespère.


Les vacanciers des clubs Marmara, eux, ont la chance de pouvoir partager leurs rêves, leurs espérances et leurs attentes sur un site spécialement conçu : Le marmarafit.


Ce voyagiste a eu l’intelligence de penser que l’on passe de meilleures vacances quand on voyage avec des amis dans leur club de vacances. Comme les nôtres ne sont pas toujours disponible pour nous accompagner, ils inversent la logique proposant de nous faire rencontrer avant ceux qui le deviendront après. Que de temps gagné lorsque l'on ne dispose que de quelques jours pour faire connaissance et encore moins pour en profiter. Tous ceux qui lisent les blogs savent que l'on y devine l'essence même des caractères et combien c'est un bon moyen de lier connaissance. Dans le même temps, cela met fin au déchirement habituel de fin de séjour, lorsque l'on oublie la promesse d'un appel ou d'une rencontre ultérieure. Le contact peut perdurer des années après que l'azur ne se soit fondu dans nos souvenirs. Afin que chacun puisse partager ses vacances, ce voyagiste créé autour de lui une communauté de futurs vacanciers à l'aide des outils suivants :




C'est un site convivial qui a tout du club de vacance. On y retrouve d'ailleurs toutes les informations nécessaires à la vie de cette communauté.




Cerise sur ce gateau, un blog qui permet dans ses commentaires, une totale interactivité entre ses lecteurs et la découverte de nouveaux lieux paradisiaques pour alimenter vos aspirations de villégiature.




Et enfin, une newsletter afin d' être toujours informé de l'actualité du voyagiste mais aussi sur les edens qu'il propose.


Article sponsorisé

lundi 24 mars 2008

C'est pas l'Homme qui prend la Mer !.. mais la Mer qui prend l'Homme !(tableau)

Renaud l'a chanté depuis longtemps....

TANT QUE LE VENT SOUFFLERA :

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme, Tatatin
Moi la mer elle m'a pris
Je m' souviens un Mardi
J'ai troqué mes santiags
Et mon cuir un peu zone
Contre une paire de docksides
Et un vieux ciré jaune
J'ai déserté les crasses
Qui m' disaient "Sois prudent"
La mer c'est dégueulasse
Les poissons baisent dedans


{Refrain:}
Dès que le vent soufflera
Je repartira
Dès que les vents tourneront
Nous nous en allerons


C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Au dépourvu tans pis
J'ai eu si mal au cœur
Sur la mer en furie
Qu' j'ai vomi mon quatre heures
Et mon minuit aussi
J' me suis cogné partout
J'ai dormi dans des draps mouillés
Ça m'a coûté ses sous
C'est d' la plaisance, c'est le pied

{Refrain}

Ho ho ho ho ho hissez haut ho ho ho

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Mais elle prend pas la femme
Qui préfère la campagne
La mienne m'attend au port
Au bout de la jetée
L'horizon est bien mort
Dans ses yeux délavés
Assise sur une bitte
D'amarrage, elle pleure
Son homme qui la quitte
La mer c'est son malheur

{Refrain}

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prends l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Comme on prend un taxi
Je ferai le tour du monde
Pour voir à chaque étape
Si tous les gars du monde
Veulent bien m' lâcher la grappe
J'irais aux quatre vents
Foutre un peu le boxon
Jamais les océans
N'oublieront mon prénom

{Refrain}

Ho ho ho ho ho hissez haut ho ho ho

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prends l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Et mon bateau aussi
Il est fier mon navire
Il est est beau mon bateau
C'est un fameux trois mats
Fin comme un oiseau {Hissez haut}
Tabarly, Pageot
Kersauson ou Riguidel
Naviguent pas sur des cageots
Ni sur des poubelles

{Refrain}

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prends l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Je m' souviens un Vendredi
Ne pleure plus ma mère
Ton fils est matelot
Ne pleure plus mon père
Je vis au fil de l'eau
Regardez votre enfant
Il est parti marin
Je sais c'est pas marrant
Mais c'était mon destin


{Refrain 3x}

Dès que le vent soufflera
Nous repartira
Dès que les vents tourneront
Je me n'en allerons




Rien n'est plus enchanteur que la mer ... mélancolie ....

Ceci est un tableau qui orne un mur de la salle de séjour dans notre gîte rural, breton

dimanche 23 mars 2008

Grave of My Childhood / Tombe de mon enfance

C'était la cabane de mon enfance. Je l'ai rebouchée le jour de mes seize ans.
Il y avait un four pour faire du pain, trois marches pour y descendre. En été, il faisait frais dedans. Je l'avais faite sous terre parce que mon père ne voulait pas que je la fasse en l'air. Il craignais que je tombe.

Grégoire, 8 février 2005, Obourg, Belgium

samedi 22 mars 2008

promenade dominicale

Droits et fiers peupliers gainés de verts tendres, je ne vous entends plus discuter et les rus à vos pieds stagnent. Leurs eaux dolentes uniquement perturbées par l’envol en pointillés d’un couple de barbaries enamourés.
Cerisiers et Pommiers japonais bavent leurs grappes de roses sur la moquette du près ; leurs branches lourdes des capiteuses effluves printanières abritent la quête de passereaux assommés de soleil.
La voix rauque de quelques invisibles crapauds se mêle aux délicates trilles jouant un répons sous les frondaisons.
Un battement d’ailles, … une brise légère rabattent sur moi l’odeur de l’herbe fraichement coupée.
Je n’ose bouger de crainte que ne soit perturbée la sautillante curiosité de celui qui me pensait inanimé. Veut’ il me protéger de l’escadrille de moustiques que combat déjà un vol erratique d’une poignée de phalène.
La rencontre étant perdue d’avance, il vat se balancer au bout d’un scion testant sa légèreté par la courbure tandis que je reste là, las et tallé comme un fruit trop mûre, suintant ses excès. Des cieux dont je me gorges darde une chaleur qui me fait d’autant apprécier la moelleuse fraicheur de ce parterre.
C’est de ce parfait sofa que je me gausse de vos presses, relents de sueurs et rides aux fronts.
Que ne pratiquez vous, loin de vos tintamarres, une pause, un arrêt, une sieste au bas côté, un hamac sous les arbres, la volupté du drap froissé ? Si vous saviez comme l’on goute l’ordre du monde lorsque l’on en peigne de ses doigts les tendres pousses. Nul divan de psychiatre ne vous mettra autant en harmonie, en accord avec vous même.
La Paix est là, ici, maintenant.

vendredi 21 mars 2008

Mariage Julie Oliver/ 07.06.08 - 41 ans de mariage en ce qui nousconcerne !

Jacques Brel
LA CHANSON DES VIEUX AMANTS
1967


Bien sûr nous eûmes des orages
Vingt ans d'amour c'est l'amour folle
Mille fois tu pris ton bagage
Mille fois je pris mon envol
Et chaque meuble se souvient
Dans cette chambre sans berceau
Des éclats des vieilles tempêtes
Plus rien ne ressemblait à rien
Tu avais perdu le goût de l'eau
Et moi celui de la conquête

Mais mon amour
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore tu sais je t'aime

Moi je sais tous tes sortilèges
Tu sais tous mes envoûtements
Tu m'as gardé de pièges en pièges
Je t'ai perdue de temps en temps
Bien sûr tu pris quelques amants
Il fallait bien passer le temps
Il faut bien que le corps exulte
Finalement finalement
Il nous fallut bien du talent
Pour être vieux sans être adultes

O mon amour
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore tu sais je t'aime

Et plus le temps nous fait cortège
Et plus le temps nous fait tourment
Mais n'est-ce pas le pire piège
Que vivre en paix pour des amants
Bien sûr tu pleures un peu moins tôt
Je me déchire un peu plus tard
Nous protégeons moins nos mystères
On laisse moins faire le hasard
On se méfie du fil de l'eau
Mais c'est toujours la tendre guerre

O mon amour...
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore tu sais je t'aime.

jeudi 20 mars 2008

Tomb - Tombe #23


Tomb - Tombe #23, première mise en ligne par Vincent Meyer.

Je suis mort avec mon corps en emportant vos remords.
Je suis mort avec mon corps sans votre accord.
Petits trésors d’instants en or vous cherchez à refaire les raccords,
De la partition de votre vie où ma mort a sonné comme un désaccord.

Sous vos pieds et votre nez vous m’ignorez,
Chaque jour vos pensées me sont moins destinées.
J’ai beau vous épier derrière les cyprès,
Je ne puis deviner pourquoi vous m’oubliez.

Autrefois votre ami ou votre ennemi,
Depuis que je suis enfoui, je m’évanoui,
De votre vie garnie de « bling bling »,
Et de reality tivi embellie par Sarkozy.

Si vous m’entendez, veuillez passer ce message à votre entourage
D’avoir le courage de me rendre hommage.
Vos bavardages, votre visage et vos mirages,
Me changerons de mon voisinage parfois trop sage.

Peut-être qu’en rentrant chez vous entouré de vos enfants,
Vous prendrez plus de temps pour ces instants succulents
Vivant le présent comme un présent bouleversant,
Avant le néant de nos charmantes retrouvailles.

Vincent Meyer

Extrait de l'exposition "Ne nous oubliez pas"
Cimetiere de Nandy - France
http://www.vincentmeyer.fr
-----

mercredi 19 mars 2008

Hiti


Hiti, première mise en ligne par Mérantaise.

MALIN SEDUCTEUR D'OCTOBRE

Automne avait frappé à la porte des saisons,
Automne nostalgique aux éclats de feu !
Eté était chassé, pensées éclairent les fenêtres,
Temps venu de l'âtre attisée,
Famille canfouinée....

Temps venu de les visiter,
Ô Serres ! offrande de couleurs !
Comme chaque année vous nous attendiez!
Bonheur aussi, nous innocents...
Ô surprise, hasard pour complice,
Forcerie ou humus, ramée, fleurs, embaumaient !
Mélange d'effluves de bouquets éclatés...
Azalées, cyclamens et pourquoi pas chrysanthèmes ?
Fragrances suaves,
Parfums simples,
Rendant vivants tréteaux de bois ordinaires....

Ô vision! ...
Les potées bougeaient... !
Elles avaient oeil coquin, brillant ! ...
En paie, comme atours, il en luisait des dizaines !
Oui des yeux égayaient les vasques, les rendaient vivantes
Ces plantes de Brumaire !
Elles ronronnaient pour qui daignait écouter !
Ô magie ! Ô magie !
Non, simples repères d'amour, d'espérance !
Car chatons cachés y folâtraient...
Des gris, des fauves, des blancs, des noirs,
des tout cela à la fois
Tous, sans nom ni race,
Adorables simplement,
Attendrissants tellement ! ...
Ils jouaient à chats-perchés ces chats...
Pour attirer l'attention,
Avec un regard doux, perçant à la fois...
Simplement enjôleur !
Naturellement quémandeur de tendresse, d’hospitalité !
Ô comment y résister ? refuser leur supplique
Dans tes bras mon fils Hiti de suite s'y est lové,
Seize ans il y a ronronné...

Dan

(Mimine la Savoyarde avait 14 ans à l'heure du au revoir d'Hiti)

mardi 18 mars 2008

La vieille dame


La vieille dame, première mise en ligne par Minacat.

La vieille dame
Au coin de la fenêtre
De son trois-pièces
Sans balcon
Est là
Immobile
Sans vieillir
A regarder
En face
Un banc

De pluie comme de soleil
Avait été assis
Un homme
Une fleur à la main

Sa mère avait dit non
D’un revers de grimace
Et ce mot avait suffi
A refermer sa vie


Michel Johann Lefranc

lundi 17 mars 2008

"Le baiser" Oeuvre de Rodin


"Le baiser" Oeuvre de Rodin, première mise en ligne par Mérantaise.

Bronze, miniaturisé, placé habituellement dans l'une de nos bibliothèques. Ici sorti près des fleurs pour le mettre en valeur...

"Le Baiser" est à l'origine un des très nombreux motifs de l'œuvre magistrale de Rodin... La Porte de l'enfer, commandé par l'État Français inspirée par La Divine Comédie de Dante et des Fleurs du Mal de Charles Baudelaire pour le Musée des Arts décoratifs prévu à l'emplacement des ruines de la Cour des Comptes à Paris.

----- melaniek.blogspace.fr/596674/Les-enfoires-Aimer-en-perdre...

Heureux celui qui meurt d'aimer

O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre
Ma danse d'être mon coeur sombre
Mon ciel des étoiles sans nombre
Ma barque au loin douce à ramer
Heureux celui qui devient sourd
Au chant s'il n'est de son amour
Aveugle au jour d'après son jour
Ses yeux sur toi seule fermés

Heureux celui qui meurt d'aimer
Heureux celui qui meurt d'aimer

D'aimer si fort ses lèvres closes
Qu'il n'ait besoin de nulle chose
Hormis le souvenir des roses
A jamais de toi parfumées
Celui qui meurt même à douleur
A qui sans toi le monde est leurre
Et n'en retient que tes couleurs
Il lui suffit qu'il t'ait nommée

Heureux celui qui meurt d'aimer
Heureux celui qui meurt d'aimer

Mon enfant dit-il ma chère âme
Le temps de te connaître ô femme
L'éternité n'est qu'une pâme
Au feu dont je suis consumé
Il a dit ô femme et qu'il taise
Le nom qui ressemble à la braise
A la bouche rouge à la fraise
A jamais dans ses dents formée

Heureux celui qui meurt d'aimer
Heureux celui qui meurt d'aimer

Il a dit ô femme et s'achève
Ainsi la vie, ainsi le rêve
Et soit sur la place de grève
Ou dans le lit accoutumé
Jeunes amants vous dont c'est l'âge
Entre la ronde et le voyage
Fou s'épargnant qui se croit sage
Criez à qui vous veut blâmer

Heureux celui qui meurt d'aimer
Heureux celui qui meurt d'aimer

Louis Aragon (chanté par Jean Ferrat)

dimanche 16 mars 2008

Le Mont-Blanc,


Le Mont-Blanc,, première mise en ligne par Mérantaise.

La Montagne de Jean Ferrat

Ils quittent un à un le pays
Pour s'en aller gagner leur vie
Loin de la terre où ils sont nés
Depuis longtemps ils en rêvaient
De la ville et de ses secrets
Du formica et du ciné
Les vieux ça n'était pas original
Quand ils s'essuyaient machinal
D'un revers de manche les lèvres
Mais ils savaient tous à propos
Tuer la caille ou le perdreau
Et manger la tomme de chèvre

Pourtant que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver ?

Avec leurs mains dessus leurs têtes
Ils avaient monté des murettes
Jusqu'au sommet de la colline
Qu'importent les jours les années
Ils avaient tous l'âme bien née
Noueuse comme un pied de vigne
Les vignes elles courent dans la forêt
Le vin ne sera plus tiré
C'était une horrible piquette
Mais il faisait des centenaires
A ne plus que savoir en faire
S'il ne vous tournait pas la tête

Pourtant que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver ?

Deux chèvres et puis quelques moutons
Une année bonne et l'autre non
Et sans vacances et sans sorties
Les filles veulent aller au bal
Il n'y a rien de plus normal
Que de vouloir vivre sa vie
Leur vie ils seront flics ou fonctionnaires
De quoi attendre sans s'en faire
Que l'heure de la retraite sonne
Il faut savoir ce que l'on aime
Et rentrer dans son H.L.M.
Manger du poulet aux hormones

Pourtant que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver ?

samedi 15 mars 2008

Willy la Tendresse - 22.05.08


Willy la Tendresse - 22.05.08, première mise en ligne par Mérantaise.

Je me fais aussi mon petit festival du Cinéma ! je pose pour vous mes amis... Mes rêves canins vont vers mes belles Julie et Réglisse... je suis tout heureux la ZZZZ va bien mieux et je retrouve ma Réglisse, fidèle comme peu l'être un brave chien, en "mon coueur et ma caboche de Lab tendre" depuis 4 ans... !*

Tendresses un peu collantes presque à tous les amis qui me regardent... ! Regardez la vidéo...


fr.youtube.com/watch?v=y1tflDrGDys

Daniel Guichard - La Tendresse ...

Paroles: Daniel Guichard, Jacques Ferrière. Musique: Patricia Carli 1972
© Paledi 1972
autres interprètes: Les Enfoirés


----------------

La tendresse

C'est quelquefois ne plus s'aimer mais être heureux
De se trouver à nouveau deux
C'est refaire pour quelques instants un monde en bleu
Avec le cœur au bord des yeux
La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

La tendresse
C'est quand on peut se pardonner sans réfléchir
Sans un regret sans rien se dire
C'est quand on veut se séparer sans se maudire
Sans rien casser, sans rien détruire
La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

La tendresse
C'est un geste, un mot, un sourire quand on oublie
Que tous les deux on a grandi
C'est quand je veux te dire je t'aime et que j'oublie
Qu'un jour ou l'autre l'amour finit
La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

{parlé} Allez viens.

vendredi 14 mars 2008

La porte est ouverte ! amis... je vous attends ! The door is open !Friends I wait for you

Entrez, je vous attendais pour vous présenter les miens et ma maisonnée de poilus d'amour !



Michel Jonasz : Je voulais te dire que je t'attends

-----------------

Je mettrai mon cœur dans du papier d'argent,
Mon numéro d'appel aux abonnés absents.
Mes chansons d'amour resteront là dans mon piano.
J'aurai jeté la clé du piano dans l'eau.
J'irai voir les rois de la brocante.
"Vendez mon cœur trois francs cinquante."
Tu savais si bien l'écouter
Que ma vie s'est arrêtée
Quand tu m'a quitté.

Je voulais te dire que je t'attends
Et tant pis si je perds mon temps.
Je t'attends, je t'attends tout le temps
Sans me décourager pourtant.
Comme quelqu'un qui n'a plus personne
S'endort près de son téléphone,
Et sourit quand on le réveille
Mais ce n'était que le soleil.

L'autre jour, j'ai vu quelqu'un qui te ressemble
Et la rue était comme une photo qui tremble.
Si c'est toi qui passe le jour où je me promène,
Si c'est vraiment toi, je vois déjà la scène.
Moi je te regarde
Et tu me regardes.

Je voulais te dire que je t'attends
Et tant pis si je perds mon temps.
Je t'attends, je t'attends tout le temps,
Ce soir, demain, n'importe quand.
Comme quelqu'un qui n'a plus personne
S'endort près de son téléphone
Et qui te cherche à son réveil,
Tout seul au soleil, j'attends.
Je voulais te dire que je t'attends.
Si tu savais comme je t'attends !
Je t'attends, je t'attends tout l'temps.
Quand seras-tu là ? Je t'attends.
Si tu savais comme je t'attends !
Je t'attends, je t'attends tout l'temps.
Je voulais te dire que je t'attends.

jeudi 13 mars 2008

Saint-Germain-des-Prés - Paris


Saint-Germain-des-Prés - Paris, première mise en ligne par Mérantaise.

Photo prise d'après un poster, il y a fort longtemps et scannée
"Le café les 2 magots" à Saint Germain des Prés - Paris.
--------


Il n'y a plus d'après

Paroles et Musique: Guy Béart
autres interprètes: Juliette Gréco, Nilda Fernández

-----------------------------------------------


Maintenant que tu vis
A l'autre bout d'Paris
Quand tu veux changer d'âge
Tu t'offres un long voyage
Tu viens me dire bonjour
Au coin d'la rue Dufour
Tu viens me visiter
A Saint-Germain-des-Prés

Il n'y a plus d'après
A Saint-Germain-des-Prés
Plus d'après-demain
Plus d'après-midi
Il n'y a qu'aujourd'hui
Quand je te reverrai
A Saint-Germain-des-Prés
Ce n'sera plus toi
Ce n'sera plus moi
Il n'y a plus d'autrefois

Tu me dis "Comme tout change!"
Les rues te semblent étranges
Même les cafés-crème
N'ont plus le goût qu'tu aimes
C'est que tu es une autre
C'est que je suis un autre
Nous sommes étrangers
A Saint-Germain-des-Prés

Il n'y a plus d'après
A Saint-Germain-des-Prés
Plus d'après-demain
Plus d'après-midi
Il n'y a qu'aujourd'hui
Quand je te reverrai
A Saint-Germain-des-Prés
Ce n'sera plus toi
Ce n'sera plus moi
Il n'y a plus d'autrefois

A vivre au jour le jour
Le moindre des amours
Prenait dans ces ruelles
Des allures éternelles
Mais à la nuit la nuit
C'était bientôt fini
Voici l'éternité
De Saint-Germain-des-Prés

Il n'y a plus d'après
A Saint-Germain-des-Prés
Plus d'après-demain
Plus d'après-midi
Il n'y a qu'aujourd'hui
Quand je te reverrai
A Saint-Germain-des-Prés
Ce n'sera plus toi
Ce n'sera plus moi
Il n'y a plus d'autrefois

A Saint-Germain-des-Prés

mercredi 12 mars 2008

Between The Shadows… Your Singing Light…!!! :)))

Between the exterior shadows of life… I need nothing else when your light sings inside of me… I am as a little bird who had all the fruits that he needs to cross sometimes the worst storms!!! :)))
Merry Christmas to you and to all your family my dear friends!!!
Ho!!! Ho!!! Ho!!!

Entre les ombres extérieures de la vie… je n’ai besoin de rien d’autre lorsque votre lumière chante à l’intérieur de moi… je suis comme un petit oiseau qui a tous les fruits dont il a besoin pour traverser parfois les pires tempêtes!!! :)))
Joyeux Noël à vous et à votre famille chers amis!!!
Ho!!! Ho!!! Ho!!!

Loreena McKennitt… Between the Shadows… Loreena McKennitt's beautiful music envelopes the time lapse of the southern view of the Thames River in Komoka Provincial Park, Ontario, Canada! A wonderful video to see on the four seasons of a wild river!!! Genius!!!

mardi 11 mars 2008

Ma Prairie, face au Mont-Blanc, à Combloux (74) - France.

PRAIRIE

Adieu prairie,
Adieu mes espérances,
Seul souvenir, ta quiétude me reste
Accorde-moi encore parfois un peu de toi !
Adieu herbes folles,
Ondulantes dans la lumière voilée du jour qui se lève
O prairie, havre de paix et de verdure,
Adieu les prés, les travers que j'ai foulés,
Adieu à toi, Ô ma belle !
Ô prairie !
De ton esprit, nul pourra me soustraire,
Ton pouvoir apaisait mon esprit,
Ressourçait mon être,
Ô prairie où le vent m'ébouriffait,
Faisant jaillir mes rêves,
Ce que toujours par soupirs mon corps exprimait,
Velours acidulé ou nul chemin ne menait...
La !
Animaux en pleine clarté ou sous abri
Gambadez !
La nature est à vous,
Son mystère vous appartient !
Adieu ciel, étoiles délicates,
Je vous laisse les oiseaux !
Une romance à ma façon ...
Envolez-vous les hirondelles,
Montez bien haut corbeaux, aiglons, choucas ,
Là-haut jusqu'aux neiges éternelles,
Vers ce Mont, si Blanc, si beau...
En le soir rosissant, j'ai posé âme sur vos ailes !...

Dan

lundi 10 mars 2008

Raymond Lévesque, le Quebecois.


Raymond Lévesque, le Quebecois., première mise en ligne par Mérantaise.

QUAND LES HOMMES VIVRONT D'AMOUR

(Chanson composée à Paris en 1956, en pleine guerre d'Algérie)

Reprise par Robert Charlebois, Gilles Vignault et Félix Leclerc en choeur et aussi par Fabienne Thibault.... et bien d'autres.... !
Merci Monsieur Lévesque !

-o-

Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous, nous serons morts mon frère

Quand les hommes vivront d'amour
Ce sera la paix sur la Terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous, nous serons morts mon frère

Dans la grande chaîne de la vie
Où il fallait que nous passions
Où il fallait que nous soyons
Nous aurons eu la mauvaise partie

Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Peut-être song'ront-ils un jour
A nous qui serons morts mon frère

Mais quand les hommes vivront d'amour
Qu'il n'y aura plus de misère
Peut-être song'ront-ils un jour
A nous qui serons morts mon frère

Nous qui aurons aux mauvais jours
Dans la haine et puis dans la guerre
Cherché la paix, cherché l'amour
Qu'ils connaîtront alors mon frère

Dans la grand' chaîne de la vie
Pour qu'il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants
De la sagesse ici-bas c'est le prix

Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous, nous serons morts mon frère

Quand les hommes vivront d'amour
Ce sera la paix sur la terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous, nous serons morts mon frère


www.youtube.com/watch?v=KamGrbvNT70

dimanche 9 mars 2008

Raymond Lévesque, le Quebecois.


Raymond Lévesque, le Quebecois., première mise en ligne par Mérantaise.

QUAND LES HOMMES VIVRONT D'AMOUR

(Chanson composée à Paris en 1956, en pleine guerre d'Algérie)

Reprise par Robert Charlebois, Gilles Vignault et Félix Leclerc en choeur et aussi par Fabienne Thibault.... et bien d'autres.... !
Merci Monsieur Lévesque !

-o-

Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous, nous serons morts mon frère

Quand les hommes vivront d'amour
Ce sera la paix sur la Terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous, nous serons morts mon frère

Dans la grande chaîne de la vie
Où il fallait que nous passions
Où il fallait que nous soyons
Nous aurons eu la mauvaise partie

Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Peut-être song'ront-ils un jour
A nous qui serons morts mon frère

Mais quand les hommes vivront d'amour
Qu'il n'y aura plus de misère
Peut-être song'ront-ils un jour
A nous qui serons morts mon frère

Nous qui aurons aux mauvais jours
Dans la haine et puis dans la guerre
Cherché la paix, cherché l'amour
Qu'ils connaîtront alors mon frère

Dans la grand' chaîne de la vie
Pour qu'il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants
De la sagesse ici-bas c'est le prix

Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous, nous serons morts mon frère

Quand les hommes vivront d'amour
Ce sera la paix sur la terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous, nous serons morts mon frère


www.youtube.com/watch?v=KamGrbvNT70

samedi 8 mars 2008

Myosotis - Forget me not !


Myosotis - Forget me not !, première mise en ligne par Mérantaise.

Myosotis ayant résisté à l'hiver ...

LE MONDE

Le Monde est Bleu
Oui Bleu
Couleur d' orange !
Le poête l'affirme, le crie, le signe !

Le Monde est Bleu !
Oui Bleu ! courleur d'orange !

Il éclabousse des taches rouge
Couleur de sang
Larmes sèches
Douleur de sable arride

Le monde est ocre,
Couleur de désert

Le monde est bleu
Couleur d'orange

Teinté de désespérance
et d'espérance ... !

Dan 2008

vendredi 7 mars 2008

La Rose de mai


La Rose de mai, première mise en ligne par Mérantaise.

LA ROSE

C'est un bouton de rose
Eclos sur un poing levé
Rouge symbole de combats menés
Souviens-toi !
L'air était tout imprégné

C'est un bouton d rose
Qui au printemps a fait rêver
Rouge comme passion exaltée
Rappelle-toi !
La vie en était toute chamboulée

C'est un bouton de rose
Que l'Histoire a sublimé
Rouge comme cerise éclatée
Réveille-toi !
Les rêves en étaient réalité !

C'est un éclat de coeur d'espoir éclaboussé !


Dan - Mérantaise.

jeudi 6 mars 2008

Max dit le Colonel - Braque d'Auvergne

MAX


Ce n'est plus le jour,
Pas vraiment la nuit
Tu me balades
Nous bravons toutes les sensations, tous frémissements, émois,
Que seuls vie, plaisirs, tendresse,
Complicité nous fait partager...

Tu me balades et moi je t'emmène
Tu me balades et moi je te tiens !

Le nez au vent, tu humes la brume,
Le nez au vent, tu t'aventures,
Le nez au vent, tu savoures le temps
Le peu de liberté que je peux te donner,
Ne sachant ô galère où je vais
Ignorante que je suis
Moi qui te promène
Toi mon compagnon,
En espérant l'aurore.

Guide moi loin, bien loin
Toi, mon chien

Dan

mercredi 5 mars 2008

Il faut imaginer le bruit de la pluie qui tombe,

la musique indienne qui passe à la radio dans l'émission Le Monde est un village, l'odeur de mouillé qui monte sur Bruxelles, qui envahit ma chambre, et la lumière du soir qui recouvre la lampe de bureau Ikea noire, les antiques rideaux verts, le jus d'orange Appelsientje, la bouteille d'Axe Vice, Cosmofobia d'Etxebarria, mon Opinel ouvert, la boîte à thé, la bouteille de Laurent-Perrier de mes 19 ans, les Opacités stellaires accrochées au mur, les romans sur l'étagère, Voyage de noces de Modiano, Autumn de Philippe Delerm, le petit mot qui demande d'envoyer un mail avec des nouvelles mais qui me lasse LIBRE de le vouloir ou non =) le carton de bière de la fin de l'année dernière avec VIVA LA REVOLUCIÓN!! Pour tes cheveux qui sont partis au paradis Vive Grégy bourré heureux Gaston y a l'téléphon(ne) qui sonne & y a jamais personne qui répond, Alexia (mode : en vacances) C'est pas nous qui marchons pas droit C'est le monde qui va de travers Mad Et surtout vive la liberté :) Lola, d'autres livres : La Bulle de Tiepolo, Opwaaiende zomerjurken, Solal, Commmune présence, Een vlucht regenwulpen, Les Racines du ciel, L'automne à Pékin, les oeuvres complètes de Baudelaire, Principes élémentaires de propagande de guerre, Carnets ** de Camus, La Guerre et la Paix, Les Candidats, Villes enfuies, La Lenteur, Extrême droite et pouvoir en Europe, Le droit comme idéologie, Harrap's Shorter, La Danse du fumiste, Mangeclous, Théorie du voyage, La Philosophie dans le boudoir, La France et le bipartisme, La région du coeur, Ici on parle flamand & français, Entre histoire et politique, Le hasard et la nécessité, Journal d'une femme adultère, et puis aussi il y a la boîte de mon Canon EOS 400D, il y a sur le bureau une carte avec un dessin de Jean Cocteau, une autre avec écrit dessus Joyeux anniversaire mon poulet !!! :), encore une autre avec un dessin du Chat, puis celle de la pièce Beautiful Thing, un bol, un réveil, deux verres, une assiette, des extraits de compte, de la nourriture pour poissons, une bougie, le dvd de Frida, un plateau vert pomme, L'Écume des jours, L'Âge des extrêmes, Le Portique, le dvd de Hedwig and the Angry Inch, un briquet noir et dehors il pleut toujours et la musique s'est arrêtée, et les voitures passent comme un souffle sur l'avenue Roosevelt et dans le bois de la Cambre et leur bruit est étouffé par l'eau qui tombe, qui tombe, qui tombe sans s'arrêter.

Bruxelles, Belgium

mardi 4 mars 2008

Back To The light…!!! / Retour De La Lumière…!!!

The time of darkness is past. The winter solstice brings the victory of light. The idea of RETURN is based on the course of nature. The movement is cyclic, and the course completes itself. Therefore it is not necessary to hasten anything artificially. Everything comes of itself at the appointed time. This is the meaning of heaven and earth.
I CHING, HEXAGRAM XXIV

Le temps de l'obscurité est passé. Le solstice d'hiver amène la victoire de la lumière. Le retour a son fondement dans le cours de la nature. Le mouvement est circulaire. La voie se referme sur elle-même. C'est pourquoi il ne faut rien précipiter artificiellement. Tout vient spontanément lorsque c'en est le temps. Telle est la Voie du ciel et de la terre.
YI KING, HEXAGRAMME XXIV

Back To The Light… Queens…!!!
www.youtube.com/watch?v=vSf0I55x4yk

lundi 3 mars 2008

Étudier


Étudier, première mise en ligne par Grégoire adore zoomer avec Firefox 3.

Un pigeon qui roucoule, la bête voisine qui gueule, les pintades qui criaillent, les canards qui cancannent, un voisin qui tond l'herbe, un coq qui pousse des cris, des oiseaux qui pépient, une abeille qui bourdonne.

Obourg, Belgium

dimanche 2 mars 2008

This life's the best we've ever had

(Tonight We Fly, Divine Comedy)

ou :

[...]


Briser sous la nuit.
Accélérer la pensée jusqu'au rythme de la pluie.

[...]

Dévisager les nuages.
Sous la glace qui tombe et se désagrège en lames bleues.

[...]

Ce qui est, Christian Hubin

Mont Héribus, Mons, Belgium

samedi 1 mars 2008

[...] et quelque chose d'une douceur infinie semblait s'abattre sur laterre.

Salammbô, Gustave Flaubert

Onnezies, Belgium