Aussi doux qu’un lange, aussi fin qu’un voile, Comme un rêve étrange caressant une toile, Amoureux d’un ange, aussi brillante et ronde Que nageoire dérange mais lumière inonde Comète fendant l’onde, cherchant son étoile Qu’aucun tour du monde jamais ne lui dévoile. Disparaît à la rosée la si timide du petit jour Toute fraiche et rosée, le soir elle accourt. La voyant nul doute que blanches écailles Quoi qu’il en coute nager ou suer le vaille Quelle cyprinides aspirant à la baiser Marquera d’une ride ses eaux apaisées ? Francoisetfier(Août 2010) Téléchargé par francois et fier de l'Être le 15 jui 10 à 5:59 (CET).
lundi 14 février 2011
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