La prose de Rosie la rosière, tel pétale au vent, tombe à plat.
La vie n’est pas si rose, Rosie, elle est pâle et le sol bien bas.
Tu cours à Belle Epine, essoufflée, rouge, rose en son jogging,
Cherchant un caddie, un gars, un dard ou même une copine.
Où sont, ma fille, tes romantiques robes en tissus d’organdi,
Tes bijoux, bagues, bracelets et bons colliers de sucre candi.
Vas-y Rosie, pleure la chose, on oublie quand on a sa dose,
Un souffle, un bras solide, une épaule, son rire et l’osmose.
1 commentaires:
On n'oublie jamais, au moins je n'ai pas réussi à oublier la rêve en rose, même après toutes les fois que j'ai eu ma "dose"
dis donc, que des blogs!
et merci pour la correction: tu es un vrai ami! bien sur, "un livre" pas une et "à" au lieu de bien, quoique je voulais dire "ne se prêtent pas bien à..."
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