Séveiller dans un tel décor
C'est merveilleux et plus encore
Ce bleu qui ferme le soir
Qui s'ouvre sur un jour d'espoir
Ces bleus tendres et si doux
Un peu de rose sur les joues
Ces couleurs qui ornent le ciel
Cette palette est la plus belle
Un jour de plus dans nos vies
Un jour où tout est permis
Profiter les yeux bien ouverts
Laisser l'amour à découvert
Ouvrir nos coeurs en douceur
Les bras tendus vers l'extérieur
Recevoir les sourires autour
Les rendre aux autres en retour
Après la nuit rien n'est fini
L'aurore détruit les interdits
Ceux qui sont dérangeants
Qui dévastent les gens
Les regrets et les non-dits
Le refus de l'amour d'autrui
Après la nuit des temps
Redéfinir les mots méchants
Apprendre à nouveau les couleurs
Les offrir en cadeau aux heures
Qu'elles décorent chaque seconde
Embellissant notre monde
(Sue 2008)
dimanche 31 août 2008
Après la nuit...
samedi 30 août 2008
Mois du cancer du sein!
Celles qui combattent pour survivre
Cette lutte pour enfin détruire
Ce fléau qui nous fait mourir
Qui fait tant de femmes souffrir
Celles qui sont accablées
Qui ne cessent d'espérer
Que l'on saura trouver
La recette tant cherchée
Je vous offre un instant
De mon appartement
Un sourire, un moment
Pour faire durer le temps
Bonne chance, je pense à vous
Je prierai à genoux
Que Dieu porte jusqu'à vous
Un baiser sur vos joues
(Sue 2008)
vendredi 29 août 2008
La Rose
C'est un bouton de rose
Eclos sur un poing levé
Rouge symbole de combats menés
Souviens-toi !
L'air était tout imprégné
C'est un bouton d rose
Qui au printemps a fait rêver
rouge comme passion exaltée
Rappelle-toi !
La vie en était toute chamboulée
C'est un bouton de rose
Que l'Histoire a sublimé
Rouge comme cerise éclatée
Réveille-toi !
Les rêves en étaient réalité
C'est un éclat de coeur d'espoir éclaboussé
jeudi 28 août 2008
************LE CREPUSCULE DES ROIS************************
Flottez, soleils des nuits, illuminez les sphères ;
Bourdonnez sous votre herbe, insectes éphémères ;
Rendons gloire là-haut, et dans nos profondeurs,
Vous par votre néant, et vous par vos grandeurs,
Et toi par ta pensée, homme ! grandeur suprême,
Miroir qu'il a créé pour s'admirer lui-même,
Echo que dans son oeuvre il a si loin jeté,
Afin que son saint nom fût partout répété.
Que cette humilité qui devant lui m'abaisse
Soit un sublime hommage, et non une tristesse ;
Et que sa volonté, trop haute pour nos yeux,
Soit faite sur la terre, ainsi que dans les cieux !
Extrait de l'INFINI DANS LES CIEUX**********
ALPHONSE DE LAMARTINE*************
mercredi 27 août 2008
db16 Je pense à toi 2008
Je pense à toi le travesti
Je pense à toi le cochon
Je pense à toi le bébé
Je pense à toi le boat people
Je pense à toi la touriste
Je pense à toi le président…
mardi 26 août 2008
LE BLEU DE L'AME
Dans le jardin des roses bleues,
chaque pétale est une empreinte
et les pierres brûlantes de l’été
abritent les secrets du silence.
Il en a réchauffé des roches
par des notes azurées de souvenirs
et des soleils habillés en hiver
d’aubes paresseuses jusqu’à la cime.
Elle en a refroidi des brisants
dont la fêlure est un sourire
perdu sur le chemin du cœur,
emporté par la marée lacrymale.
Les roses bleues refleurissent
toujours dans la brume vernale,
parmi les ruines des balbutiements,
parmi les herbes mortes-nées.
Leurs pétales brillent sous un voile pâle
alors que les pierres cassées respirent
le parfum grisant de la renaissance.
Elles vivent et les fleurs ont fané.
POEMES DE CERES.....
lundi 25 août 2008
La Mérantaise près de Bures-sur-Yvette, notre village (91) - Essonne -France.
SOIR D'ETE...
Il est un val au nom de femme,
En son sein,
Ruisselet, coulée, percée secrète...glissent !
Iris jaune lumière, défient le soleil palissant,
Oscillent, jouent avec les roseaux,
Brise vespérale pour caresse !
Nature sour ce charme,
S'offre, verdoyante,
Eté pavoisant y paresse,
Maitre du temps, de l'instant...
Orages, nuages chassés,
Ciel clair coiffe frondaisons,
Théatre alangui.
Air léger aux fragrances presque de nuit
Senteurs florales à l'humus mélées,
S'éxalent intimement,
Appellent Amour, Tendrsse, Affection, Recueillement
Poésie mêlées....
Campagne en le soir rosissant
Métronome de tous bruissements
Dirige un éternel concerto,
Pour vous amants intimement enlacés
Dan
dimanche 24 août 2008
LE SOLEIL DE MON" UNIVERS"........Bonne journée à tous...
L'univers est un poème ...
Mystérieux moment où l'on commence à vivre...
La matière s'anime à ton souffle, mon Dieu.
L'âme qu'elle a reçue est un rayon de feu
Qui remonte vers toi, prisonnier qu'on délivre.
Et la vie est partout. Comme on lit dans un livre,
Dans le monde insondable on voudrait lire un peu,
Pour voir si le travail alterne avec le jeu,
Et si les coeurs parfois mêlent la flamme au givre.
La Terre pleure et rit. L'homme ainsi l'a voulu.
Dès le premier dîner il se montre goulu
Et verse le vin pur sur la pomme indigeste.
Le poète, à l'aspect de la voûte céleste,
Se dit, rêvant de vers et tombant à genoux
Le monde est un poème et Dieu l'a fait pour nous.
Léon-Pamphile LE MAY....1837-1918.....
samedi 23 août 2008
FLEUR DE POMMIER.....
L'odeur de mon pays était dans une pomme.
Je l'ai mordue avec les yeux fermés du somme,
Pour me croire debout dans un herbage vert.
L'herbe haute sentait le soleil et la mer,
L'ombre des peupliers y allongeaient des raies,
Et j'entendais le bruit des oiseaux, plein les haies,
Se mêler au retour des vagues de midi...
Combien de fois, ainsi, l'automne rousse et verte
Me vit-elle, au milieu du soleil et, debout,
Manger, les yeux fermés, la pomme rebondie
De tes prés, copieuse et forte Normandie ?...
Ah! je ne guérirai jamais de mon pays!
N'est-il pas la douceur des feuillages cueillis
Dans la fraîcheur, la paix et toute l'innocence?
Et qui donc a jamais guéri de son enfance ?...
LUCIE DELARUE-MARDRUS
vendredi 22 août 2008
jeudi 21 août 2008
Mois du cancer du sein!
Belle femme, petite flamme
Tu as mal jusqu'à l'âme
Je t'offre cette poupée
Simple geste d'amitié
La vie te l'a fauché
Sans te le demander
Mais ta féminité
Tu sauras l'a gardée
Des gens travaillent ensemble
Des gens qui te ressemblent
Ils cherchent à découvrir
La recette d'avenir
Un stylo pour l'espoir
De sortir du trou noir
De guérir les malheurs
De réchauffer ton coeur
(Sue 2008)
mercredi 20 août 2008
Mois du cancer du sein!
Celles qui combattent pour survivre
Cette lutte pour enfin détruire
Ce fléau qui nous fait mourir
Qui fait tant de femmes souffrir
Celles qui sont accablées
Qui ne cessent d'espérer
Que l'on saura trouver
La recette tant cherchée
Je vous offre un instant
De mon appartement
Un sourire, un moment
Pour faire durer le temps
Bonne chance, je pense à vous
Je prierai à genoux
Que Dieu porte jusqu'à vous
Un baiser sur vos joues
(Sue 2008)
mardi 19 août 2008
Mois du cancer du sein /FLOUÉ!
Un peu timide, il est floué
Un sein a du être enlevé
Terrible car il va lui manquer
Surtout ne jamais ignorer
Ce mal au sein de sa poitrine
Ce torse qui se redessine
Floué, oublié sa vitrine
Ce sein, la volonté divine
Floué mais il veut partager
L'espoir, un bonheur mérité
Grâce à la cause il peut rester
Dans la mémoire des étrangers
(sue 2008)
lundi 18 août 2008
Mont coloré!
Je roule depuis un moment
Mes yeux éblouis par le temps
Par la beauté des alentours
Des rencontres sur mon parcours
De gauche à droite se dessinent
Des palettes de couleurs divines
Déposées ici et là, tout simplement
Par l'automne et son maître géant
Je ne saurais choisir les plus belles
Celle-ci, celle-là ou encore celle...
Les orangés me font rêver
Mais les rouges me font chavirer
D'un jour à l'autre des nouvelles
D'autres qui font parler d'elles
Les touristes sont arrivés
Au village, ils ont débarqué
Octobre est au calendrier
Le sol deviendra cendrier
Car ces feuilles trop balayées
Le vent les aura décrochées
Novembre nous prendra d'assaut
Pour moi, il est toujours trop tôt
Le climat nous gèlera les os
Les arbres nus seront moins beaux
(Sue 2008)
dimanche 17 août 2008
DECLIN.....
Un silence se fit dans le déclin du jour.
Une plainte expira, puis un soupir d'amour.
Puis une pomme chut, une autre encore, et d'autres,
Dans l'herbe haute et chaude et l'ombre d'émeraude.
Le soleil descendit de rameaux en rameaux ;
On entendit chanter un invisible oiseau.
Une senteur de fleurs molles et défaillantes
Sur la terre glissa comme une vague lente.
Et pour mieux enchanter celle qui vient, les yeux
Baissés, et comme en songe, et le cour oublieux,
Par les troubles sentiers de ces jardins magiques,
Le soir voluptueux, dans les airs attiédis,
De ses subtiles mains complices étendit
L'insidieux filet des étoiles obliques.
RECUEIL:"LA CHANSON D'EVE"
CHARLES VAN LERBEGHE.......1861-1907
samedi 16 août 2008
Couleurs d'automne!
L'automne et ses petits fruits
Que la nature fait bien les choses
Je regarde sans faire de bruit
Au cas ou je verrais quelque chose
Les feuilles qui bougent, quelques frissons
Un bruit sourd, quelques craquements
Si tout à coup derrière un buisson
Se cachaient quelques prétendants
Quelques affamés d'overdose
Salivant déjà sans les voir
Qui viendraient pour faire la pause
Sans attendre que vienne le soir
L'automne qui fait sa cuisine
De la nourriture pour l'hiver
Des petits jujubes se dessinent
Pour les p'tites bêtes de l'univers
(Sue 2008)
vendredi 15 août 2008
PERLE DE ROSEE
Dans un parfum de roses blanches
Dans un parfum de roses blanches
Elle est assise et songe ;
Et l'ombre est belle comme s'il s'y mirait un ange.
Le soir descend, le bosquet dort ;
Entre ses feuilles et ses branches,
Sur le paradis bleu s'ouvre un paradis d'or.
Sur le rivage expire un dernier flot lointain.
Une voix qui chantait, tout à l'heure, murmure.
Un murmure s'exhale en haleine, et s'éteint.
Dans le silence il tombe des pétales.....
CHARLES VAN LEMBERGHE
jeudi 14 août 2008
La talle de bouleaux!
Issue d'une grande famille
Telle cette talle de bouleaux
Un jour, frêle et jolie fille
Est sortie de son berceau
Elle prit la route à son tour
Accompagnant l'homme de ses rêves
Tout ce qu'elle fit, fut par amour
Des années, des saisons trop brèves
Son gallant a fermé les yeux
S'est envollé comme dans un songe
Terminé ces jours merveilleux
Elle le voit toujours qui s'allonge
Le soir lorsqu'elle va dormir
Elle sent son ombre la frôler
Ce sera dans un dernier soupir
Qu'elle ira un jour le retrouver
(Sue 2007)
mercredi 13 août 2008
Florence
L'enfant do...
Les cheveux comme du blé
Un peu de rouge pour la chaleur
Des joues roses pour m'enchanter
Lèvres rouges, tout petit coeur
Elle brille telle une fleur au soleil
Un bleu caresse comme ses yeux
Florence, belle petite merveille
La voir ainsi c'est merveilleux
Elle est pour moi une oeuvre d'art
Des traits parfaits des cheveux d'ange
Dieu n'a rien laissé au hasard
De ses ancêtres, quel beau mélange
Que sa maman soit toujours
Là lorsque s'ouvrent ses yeux
Qu'elle n'ait jamais ce mal un jour
Qui font tant d'enfants malheureux
Qu'elle connaisse ses jours de femme
Que la vie contourne les malheurs
Qu'elles ne rencontrent pas ce drame
Que le cancer se fasse voir ailleurs
Notre Florence
(Sue 2008)
mardi 12 août 2008
Vacances 2008 - Bretagne - Finistère - France.... en route au bord decette Citroën C4..... ! Holidays in Brittany ! go with this car....
Allez en route... nous vous emmenons là où nous sommes allés... il y a 700 photos... ! je m'y suis mise et j'en ai capté 500 !
Temps superbe !
Bisous à tous les amis... ce n'est pas notre voiture, vous vous en doutiez !
Citroën C4 (France)
--
Go on the way ...Go with us ! 700 shots !Magnificent weather and very good holidays
Kisses to all the friends ! it is not our car, you suspected it!
Citroën C4 (French)
Excuse my bad english, but I hate translators !
---
A la porte du garage
Paroles et musique : Charles Trenet
Dédié "A mon ami Gaston Bonheur"
Aux environs des belles années mille neuf cent dix,
Lorsque le monde découvrait l'automobile,
Une pauvre femme abandonnée avec ses fils
Par son mari qui s'était enfui à la ville
Dans une superbe Panhard et Levassor
Qu'il conduisait en plein essor
Lui écrivait ces mots d'espoir,
En pensant que, peut-être, un soir,
I1 reviendrait, tout comme avant,
Au lieu de partir dans le vent.
Je t'attendrai à la porte du garage.
Tu paraîtras dans ta superbe auto.
Il fera nuit mais, avec l'éclairage,
On pourra voir jusqu'au flanc du coteau.
Nous partirons sur la route de Narbonne.
Toute la nuit, le moteur vrombira
Et nous verrons les tours de Carcassonne
Se profiler à l'horizon de Barbaira.
Le lendemain, toutes ces randonnées
Nous conduiront peut-être à Montauban
Et, pour finir cette belle journée,
Nous irons nous asseoir sur un banc.
L'époux volage, hélas, ne revint pas si tôt,
Escamoté par son nuage de poussière,
Courant partout :
Nice, Paris, Paris, Bordeaux
Sans se soucier de sa famille dans l'ornière.
Il courut ainsi pendant plus de quarante ans
Et puis un jour, tout repentant,
Il revint voir sa belle d'antan
Qui avait appris à ses enfants
Ce refrain que, les larmes aux yeux,
Ils répétaient aux deux bons vieux.
Ah quel bonheur, à la porte du garage,
Quand tu parus dans ta superbe auto (papa).
Il faisait nuit mais, avec l'éclairage,
On pouvait voir jusqu'au flanc du coteau.
Demain demain, sur la route de Narbonne,
Tout comme jadis, heureux, tu conduiras
Et nous verrons les tours de Carcassonne
Se profiler à l'horizon de Barbaira.
Pour terminer ce voyage de poète
Et pour fêter ce retour du passé,
Nous te suivrons tous deux à bicyclette
En freinant bien pour ne pas te dépasser,
En freinant bien pour ne pas te dépasser.
lundi 11 août 2008
L'ouverture!
Ainsi va ma guérison
J'entrevois la libération
De mon coeur, l'éclosion
Maux de coeur, l'abandon
Jaune soleil, vert espoir
Des merveilles à revoir
Même quand vient le soir
Fini le grand trou noir
J'entre dans ma maison
Fouille toutes ses saisons
Merci pour les leçons
Je m'accorde le pardon
(Sue 2008)
dimanche 10 août 2008
FEERIE D'UNE TULIPE...MERCI A TOUS MES AMIS POUR VOS COMMENTAIRES ETVISITES....
Moi, je suis la tulipe, une fleur de Hollande ;
Et telle est ma beauté, que l’avare Flamand
Paye un de mes oignons plus cher qu’un diamant,
Si mes fonds sont bien purs, si je suis droite et grande.
Mon air est féodal, et, comme une Yolande
Dans sa jupe à longs plis étoffée amplement,
Je porte des blasons peints sur mon vêtement,
Gueules fascé d’argent, or avec pourpre en bande.
Le jardinier divin a filé de ses doigts
Les rayons du soleil et la pourpre des rois
Pour me faire une robe à trame douce et fine.
Nulle fleur du jardin n’égale ma splendeur,
Mais la nature, hélas ! n’a pas versé d’odeur
Dans mon calice fait comme un vase de Chine.
THEOPHILE GAUTIER....
samedi 9 août 2008
Le coeur jaune!
Ambré, blond, citron, cuivré
Doré, fauve, flavescent, ocré
Jauger ce jaune, l'apprécier
Priser ce vert plus réservé
Un tournesol offrant son coeur
À la clarté du jour, de l'heure
Une perception du bonheur
Notre vie qui côtoie la leur
Réaliser notre 'appartenance
À la nature, la vie qui danse
Sous des milliers de différences
Notre vie, notre dépendance
Faisons partie de ces nuances
Malgré nos cris, nos réjouissances
Est-ce une illusion la souffrance
Le fruit de notre intelligence
(Sue 2008)
vendredi 8 août 2008
SPLENDEUR DE L'AUBE
Heureux l'homme, occupé de l'éternel destin,
Qui, tel qu'un voyageur qui part de grand matin,
Se réveille, l'esprit rempli de rêverie,
Et, dès l'aube du jour, se met à lire et prie !
A mesure qu'il lit, le jour vient lentement
Et se fait dans son âme ainsi qu'au firmament.
Il voit distinctement, à cette clarté blême,
Des choses dans sa chambre et d'autres en lui-même ;
Tout dort dans la maison; il est seul, il le croit ;
Et, cependant, fermant leur bouche de leur doigt,
Derrière lui, tandis que l'extase l'enivre,
Les anges souriants se penchent sur son livre.
VICTOR HUGO
jeudi 7 août 2008
En toute sincérité!
Je lui ai confié bien des choses
Lui ai fait part de mes tourments
Je n'ai pas ménagé la dose
Je suis si bien en ce moment
J'ai traversé la mer noire
Survolé des gouffres profonds
J'ai côtoyé le désespoir
Mon coeur s'est senti moribond
Au-delà de ces mois houleux
Je suis aujourd'hui éclairée
Je me sens même bénie de Dieu
Tellement c'est doux de respirer
Je récupère ma joie de vivre
Mes idées sombres sont derrière moi
Je me surprends même à sourire
De ces moments remplis d'émoi
Je remercie ces êtres aimés
De leur soutien, leur compassion
Mon grand amour que j'ai blessé
De me combler de son pardon
J'ai tout fait pour le foudroyer
Tant le mal rongeait mes entrailles
Tout ce temps, il m'a supportée
Tout fait pour conserver les mailles
Je prendrai le temps de guérir
Tous mes chagrins, mon reniement
Je ne veux plus jamais souffrir
De non-dit comme précédemment
Je prendrai soin de l'intérieur
De l'être fragile, dutout méchant
Je lui laisserai ouvrir son coeur
Sans craindre de le laisser perdant
Je lui redonnerai sa place
Celle qui lui appartient de droit
Plus question qu'elle se déplace
Puisqu'elle sait qu'elle en a choix
M'aimer d'abord pour aimer l'autre
Bien davantage qu'autrefois
Reconquérir sans peur des autres
Cette personne, son petit moi
(Sue 2008)
mercredi 6 août 2008
Peypin en Provence, vue sur la garrigue
Peypin est situé près de Gardanne, Roquevaire... entre Aix en Provence et Aubagne, ville de notre cher Marcel Pagnol !
--------
Certitude
Ici, c'est le Midi !
Le ciel est couleur d'azur !
L'air embaumé de mille senteurs
La vie ici en ces lieux...
L'existence
Sont différentes dit-on et croit-on !
Certes, le soleil est unique témoin
Mais l'esprit ?
Morose ou gai
Riche ou pauvre
L'homme est avant tout lui-même !
Quel que soit le lieu,
Quel que soit le temps, la chaleur ambiante !
Le bonheur nait pas de cela !
Quel que soit le site...
Quel que soit l'environnement naturel....
Quelles que soient les couleurs
Quelles que soient les fragrances
Le bonheur est en la tête !
Dan
mardi 5 août 2008
Rose, Rosanna
Dans mon vieux jardin, une rose apparut sous la rosée.
Elle était complètement close alors que j’arrosais,
Mais un jour en vain, elle s’ouvrit à la vie d’une rose.
Rose, Rosanna, regarde ta fête.
Rose, Rosanna, regarde tout en rose
Car la vie t’arrose.
Un très beau matin, une dose de sève jaillit du rosier.
Elle luttait pour sa vraie cause lorsque mes pas l’approchaient
Et le jour divin fût lorsqu’elle fit sa métamorphose.
Rose, Rosanna, regarde ta fête.
Rose, Rosanna, regarde tout en rose
Car la vie t’arrose.
Maintenant mannequin, elle pose pour moi, ma bien aimée.
Elle est la grâce que j’ai toujours admirée et adorée.
Rose, Rosanna, regarde ta fête.
Rose, Rosanna, regarde tout en rose
Car la vie t’arrose.
vmestresantana
lundi 4 août 2008
Un peu de douceur!
Une femme habitant un sous-sol
Son gagne-pain, la clé de sol
Un peu de vert, quelques fleurs
Une petite douceur pour son coeur
Depuis des années dans le bas
Des petites pièces sans éclat
Elle pianote et fait ses prières
Elle est religieuse et grand-mère
Loin d'être triste elle est heureuse
Nos mercredis... même radieuse
Elle fait son chemin ici-bas
Convaincue qu'elle y reviendra
Une enseignante, une amie
Et de l'être je suis ravie
Sa compagnie me fait du bien
Car avec elle tout est serein
(Sue 2008)
dimanche 3 août 2008
Chamonix - la rue européenne et le Mont-Blanc
Les couleurs des drapeaux mettent en valeur la magnificence de la montagne ... nul besoin est ! mais si cela pouvait donner une idée de Paix à tous les esprits et tous les coeurs ..... de les voir pavoiser pour le plaisir !
samedi 2 août 2008
Clair obscur!
La princesse a trouvé son prince
Un homme venant de sa province
Elle reconnut le mot Amour
Dans chacun de ses discours
Près d'elle il est venu s'assseoir
C'était le début d'une histoire
Ses beaux yeux verts qui miroitaient
Elle l'élue, son coeur qui battait
Quelques jours passés sur la plage
Elle craignait son coeur trop volage
Mais lui ne voyait plus personne
Tout ce qu'il voulait, qu'elle s'abandonne
Ces deux êtres sont restés sages
Malgré les battements de l'orage
Ils se retrouveraient bien un jour
Si c'était vraiment ça l'amour
Et l'histoire a suivi son cours
Se sont retrouvés un beau jour
Devant un ministre chétien
Elle lui a donné sa main
Depuis ce jour et pour toujours
Malgré la vie, ses mauvais tours
Ces gens s'aiment encore davantage
Pas question qu'ils fassent naufrage
(Sue 2008)
vendredi 1 août 2008
Fresque Symbole de Douarnenez
Douarnenez était un port "sardinier" il existe encore de merveilleuses usine de "mise en boite" !
Appréciez la fresque dessiné avec talent et expliquée par un jeu de mot fort drôle !