Lettre à Lilly
Ma très chère amie,
Vous me trouvez fort marrie qu’au téléphone cet après midi, nous nous quittâmes désunies.
Cet appel m’a surprit car il faut dire que depuis que vous vous êtes enfuie, vous n’appelez plus la Picardie.
Or, quand vous êtes partie, il semblerait que vous ayez omis le remboursement par vous promit du prêt que je vous consenti.
Certes, au jour d’aujourd’hui, toute votre dette est tarie, mais vous voudriez que j’oublie les promesses que l’on renie.
Malgré tout, j’eu été ravie d’échanger entre deux amies des nouvelles sur nos vies, des potins, la santé, nos maris.
Mais, vous n’appeliez pour ceci. Pour je ne sais quelle nouvelle lubie, il vous fallait quelques penny, immédiatement satisfaire à l’envie, afin de combattre l’ennui.
Ainsi, pour toi, je suis qui ? Dit moi, suis-je aussi abrutie que je vais croire tes arguties et gober ces âneries.
Tu croyais user de ma sensiblerie, comme en terrain conquis, mais je connais désormais ta rouerie.
Tu n’aura plus de crédit, de boni, de radis, de biscuits, de somoni pas un cedi, un louis, un dalasi, un lari, un follis, ni même un guarani, un renminbi, un afghani, un puli, ou encore un zloty, un lilangeni, un ariary, un loti ou une roupie.
Nenni
Téléchargé par francois et fier de l'Être le 26 mar 07 à 3:02 (CEST).
jeudi 29 juillet 2010
Argent
mercredi 28 juillet 2010
deux_chevaux_cyclopes
Deux chevaux cyclopes
Tout le monde connaît le Haiku, mais bien peu s’intéressent au senryū. Pourtant c’est une forme plus amusante de courte poésie japonaise: Elle se compose de trois lignes de 17 syllabes au moins. Il a pour sujet nos faiblesses humaines et non pas la nature ou les saisons. Le senryū est souvent cynique alors que le haïku est sérieux.
Je vous en propose quelques uns sur le rythme 7-5-7 du plus simple au plus complexe.
Ah ! Cupides dont l’égo
perce d’une flèche
le si beau chant des oiseaux.
La langue de vipère
aiguise ses crocs
aux hévéas les plus beaux.
Sur la page, les crayons
plantent une graine
en terre ou sur les sillons.
Va, prends ta plume corps beau,
grave tes lettres
en mon cœur et sur ma peau.
Téléchargé par francois et fier de l'Être le 16 jui 08 à 10:46 (CEST).
mardi 27 juillet 2010
Croix
Chacun porte sa croix,
Chacun garde sa voie.
Mais au bout de l'escalier ,qu'es ce que l'on voit?
Jésus et sa croix,
toute faite de bois pour que l'on croie
Tous à la fois
A cette foi
Qui nous met les fois !!
Téléchargé par montestier le 15 jun 10 à 2:32 (CEST).
lundi 26 juillet 2010
8 Juin 2009 : Le saule pleureur
Le saule pleureur,
Ici, là et maintenant
je me penche sur mon passé
où la terre comme un onguent
nourrit mes racines blessées.
Indélébiles traces du temps
qui craquellent mon tronc strié,
fouetté ou battu par les vents
seule ma peau est dessechée.
Aux cieux mon âme respire d'autant
que balancent mes rêves filés
qui entourent mes pleurs de chants
et abritent l'ombre et la gaité,
Ici, là et pour longtemps
Téléchargé par francois et fier de l'Être le 8 jun 09 à 12:04 (CEST).
dimanche 25 juillet 2010
Rose normande ! belle à souhait, elle sera !
Rose normande ! belle à souhait, elle sera !
La poésie qui s'en va nue sur ses pieds de roseaux, sur ses pieds de cailloux, ne se laisse réduire nulle part.
René Char
Photo prise cet après-midi en le jardin de ma mère.
Téléchargé par Mérantaise le 14 jun 10 à 10:37 (CEST).
samedi 24 juillet 2010
Poussin surfeur.
Notre vie est semblable à la mer vagabonde
Où le flot suit le flot et l'onde pousse l'onde
Nous courons du présent vers le temps à venir
Roulant en nos coeurs comme au travers des vagues.
Téléchargé par Merlechanteur le 14 jun 10 à 5:08 (CEST).
vendredi 23 juillet 2010
La pureté
Privilége
Que de père en fils ne dit’ on pas,
Pour que la rose ai son éclat,
Qu’à la rosée ne s’effeuille
Ou que bouton ne se cueille.
Oui, la fraicheur ne vaut pas
La douceur d’un pétale incarnat,
Tous les parfums d’un fruit mûr,
Valent largement un goût sûr.
Francoisetfier
Téléchargé par francois et fier de l'Être le 17 mar 09 à 12:30 (CEST).
jeudi 22 juillet 2010
telle_est_vision
La poésie moderne n'a plus grand chose à voir
à ces rythmes ternes et ces proses ostentatoires
Mes mots dits sont à l'image
pour que mes chants y nagent.
Le hors norme à topé !
Baisse tes tentes à mirettes
Laisse l'estaminet te tenter,
ou baiser lent à minette,
et qu'à la mire lit'on ?
Tire ta lire, à lire l'ire là !
mercredi 21 juillet 2010
Sérieux, il est Indiana Jones, dit Indy l'aventurier ! notre chat !
Sérieux, il est Indiana Jones, dit Indy l'aventurier ! notre chat !, première mise en ligne par Mérantaise.
Tu as raison, ami,
Un chat est né pour être heureux !
Un regard bien à lui
rend tout sentiment
Amour et tendresse
Contraire ou pire
Que devin fasse qu'il nous inspire... !
Tu sais ami les poètes,
Ecrivains
Même chantant
Même écoutés d'une seule oreille,
Sont-ils tous poètes ...
Ils n'ont pas la même rime !
Bien moins encore le même penchant
Dan 2010
Reflexion faite en te regardant mon Indy.
Téléchargé par Mérantaise le 13 jun 10 à 5:25 (CEST).
mardi 20 juillet 2010
Eau d'or mante.
Si tu veux les voir, m'a dit une fée
Glisse un soir, comme moi
Sous les saules
Et regarde, entre tes doigts
Elles appuient sur les eaux vertes
Leurs frêles corolles
Et leurs larges feuilles
Elles jouent, entre les joncs
A des jeux d'ombre et de rayons
Regarde, mais sache
Que sous chaque fleur on peut
Voir une fée qui se cache.
lundi 19 juillet 2010
Calanques de Cassis
Belle et simple promenade
En dégustant une bonne limonade
Le soleil brille et scintille
Tout au loin, les douces myrtilles
Tout ici est si beau
On est si bien en maillot
Pour tout oublier
Rien de tel que nager
Domi
dimanche 18 juillet 2010
Rose hivernale
Que toi, moi, l’un ou l’autre
Vienne un jour à s’évader,
Que ne reste les souvenirs nôtres
À l’un de nous endeuillé,
Maudira t’il le jour et l’heure
Ou ce nous s’est éteint.
L’instant où de son cœur
A expiré le mot de la fin.
On dit que le temps apaise
Et demain sèche les pleurs,
Mais si la solitude lui pèse
Oubliera t’il son malheur.
Verra t’il s’estomper le visage
Dans d’autres bras enserré
Refaisant, tournant la page
Sur un duo maintenant séparé
Vaines les réciproques promesses,
Les murmures d’instants d’intimité
Une fois dite la solennelle messe
Sur les grands serments d’éternité
A moins que l’autre ne s’enterre
Se fige cristallisant à dessein
Les objets sous cloche de verre
Le moindre souvenir en son sein
Sur le chemin endossant fardeau
Continuant la route d’un pas lourd
Mais n’attendant rien de nouveau
Mort, vivant comme au jour le jour.
Qu’il est triste ce petit poème
Reflet de mes idées moroses
Mais la vie n’est pas rose
Pour autant à ceux qui s’aiment.
Téléchargé par francois et fier de l'Être le 11 mar 08 à 12:13 (CEST).
samedi 17 juillet 2010
Gazzania
LE COEUR VERT
Joli cœur mais un peu vert !!
S'il souffre il foncera !!
Amoureux il parlera en verts !
s'il aime il scintillera ,
et de ce cœur pervers
une graine sortira !!
vendredi 16 juillet 2010
Demain..
Aussi sombre que soit le ciel
Ne pas se laisser emporter par la peur
Chaque jour de passé est un jour de gagné
Un jour qui ouvre sur demain
Demain est merveilleux
C'est le rêve
C'est l'espérance
Quand la route est remplie d'obstacles
Et qu’aucun miracle n’est attendu
Il est permis de s'arrêter,
Mais non d'abandonner.
LA VIE EST BELLE...
Prendre le temps de la respirer aujourd'hui,
parce que demain il sera peut être trop tard...
Demain est merveilleux,
C'est le rêve,
C'est l'espérance..
28/04/2010
jeudi 15 juillet 2010
La chair
Le haut de la cuisse
Le haut de la cuisse,
Charmante expression
Qui sert ou dessert une réputation
Étonnant que l’on puisse
A la fin d’un gueuleton
Comparer les épices
D’un doux et tendre con
Aux voluptueux délices
D’un odorant frometon.
Le haut de la cuisse,
Charmante expression
Qui sert au dessert, une reddition
Étonnant que l’on puisse
A la fin d’un gueuleton
Payer de son calice
A doux et tendre con
A moins qu’il ne s’agisse
d’un odorant crouton.
Le haut de la cuisse,
Charmante expression
Jupiter ou des hères, une condition
Étonnant que l’on pisse
A la fin d’un gorgeon
Comparer les épices
d’un cru, d’un cruchon
A moins que l’on ne saisisse,
Rond, un nouveau litron.
Le haut de la cuisse,
Charmante expression
que l’on serre ou desserre, une compulsion
Étonnant que l’on glisse
À la fin d’un frisson
Comparant les vices,
D’un doux et tendre micheton
Aux violents caprices
D’un athlète apollon.
Le haut de la cuisse,
Charmante expression
Que l’on perd ou espère, une adoration
Étonnant que l’on palisse
A perdre la raison
Qu’une simple odeur puisse
Avoir tant d’évocation
Que l’on vénère ou salisse
Ce qui n’est qu’humaine condition.
Téléchargé par francois et fier de l'Être le 24 mai 07 à 11:05 (CEST).
mercredi 14 juillet 2010
Cagnotte d'un ami intime de Flickr ! Liquide en rouleaux dit-il ! (cesont des Francs Suisses) !
Cagnotte d'un ami intime de Flickr ! Liquide en rouleaux dit-il ! (ce sont des Francs Suisses) !, première mise en ligne par Mérantaise.
Berjun (Bernard) ! certains voire beaucoup connaissent est Suisse, ce pays si beau, si calme que cela se ressent dans les sentiments des amis de ce pays aimé !
Il me l'a donné pour vous faire lire ce que je lui avais répondu.... (Photo visible dans Photographie et Francophonie)
Divagation plus que poème..... j'ai écrit !
Vous la proposer, l'ami était d'accord car il savait que je n'allais en rien commenter quelque chose qui l'attristerait.
---------
Quel esprit que j'aime... !
L'esprit ! chose indomptable !
Vous n'aurez pas ma liberté de penser chante l'artiste
Ces rouleaux... il ne doit pas en manquer !
Si l'on ne devait penser qu'à cela,....
Vies pour beaucoup se ressembleraient alors !
Vie pareille ! course folle !
Vie n'est pas en ces rouleaux !
Triste existence alors !
La vie ....
C'est de voir, plus fort savoir regarder !
Entendre, mieux encore écouter !
Aimer tendrement ou follement plus qu'estimer !
La vie est une fleur qui ne devrait jamais faner
Dan -Juin 2010
mardi 13 juillet 2010
Nuages scrépusculaires !
Ce moment de plénitude
Où l'ont sent que rien
ne peut nous atteindre......
lundi 12 juillet 2010
Ciel crépusculaire en Essonne.
Vue de la fenêtre de notre chambre !
"Le bonheur
C'est de vivre
à la bonne heure
à chaque moment de sa vie"
Auteur inconnu mais pensée bien retenue.
dimanche 11 juillet 2010
LES PHONIES BERGERES
Les "phonies bergères" est un festival sympa qui se déroule tous les deux ans en Béarn dans la vallée d' Aspe. ( sans Bayrou, c'est rassurant ) . C'est un festival des arts de la nature, de la parole et de la musique . Il y a un sentier artistique, des spectacles de contes, des musiciens et l'ambiance est bon enfant, familiale et champêtre . Cette année c'était du 28 au 30 mai et j'ai passé un bon moment
samedi 10 juillet 2010
Anniversaire Pascale
Lundi, c'est l'anniversaire de notre amie...Nous t'embrassons tous...Martine
Jour d'Anniversaire
Jour, manque de repères,
Jour éphémère,
Retour en arrière,
Bilan austère,
Quand même fière,
Avancer,
Y croire encore, s'obstiner,
A quoi ?
A garder la foi
En demain,
En l'Humain,
Quelle dérision,
Cette passion,
De toujours vouloir la perfection en tout,
Contrainte de me mettre à genoux,
Tout faire pour que la vie rejoigne le rêve,
Avant que le jour ne s'achève,
Éviter à l'avenir de fêter,
Ce qu'il conviendrait d'appeler
Une fuite en avant
Du temps,
Ne pourrait-il pas se reposer
Pour souffler
Je vivrais toutes ces années
dans une même continuité
Sans plus rien additionner
Comme un long et même parcours
de Joie et d'Amour
Sans date butoir
Illusoire et cruelle
Douce ritournelle
De ce temps qui passe
Et me laisse un peu plus chaque jour perspicace
Les rides venant
Faire semblant
Le coeur toujours en adolescence
Ne rimera jamais avec convalescence,
Encore moins avec condescendance,
Refaire le parcours à l'envers,
Retomber dans les mêmes travers
Je suis ce que je suis
Une fée sans logis
Une vagabonde du coeur
Qui voudrait croire aux contes de fée,
Pleine de candeur,
Mais l'horloge a tourné,
Inexorablement,
Le compte a rebours a commencé
Depuis longtemps ...
vendredi 9 juillet 2010
A coeur ouvert.
Les rameaux émus de vivantes paroles
Lui murmurent l'amour, et le soleil sommeille
La brise heureuse aux griffures des taillis
Erre au vouloir de ses rêves moroses.
jeudi 8 juillet 2010
Papillon
Par JP.merci !!
Sous l'étoile lunaire baignant dans l'éther,
Le damné papillon, ses ailes laisse resplendir…
Par-dessus les feuilles caressées d'une invisible tempête, il se laisse engloutir,
Ses éclats entre les arbres, le gardien de la nuit laissent étinceler…
D'un doucereux battement de ses membres,
Il exerce un mouvement pour se diriger là où ses sens lui soufflent d'aller…
Il se laisse guider là où son esprit lui pantelle de vagabonder,
Comme à jamais condamné par son destin dans cette froide antichambre…
La chenille devenue papillon
Va périr sous la lueur intrigante de l'astre blanc…
Sous cette mystérieuse étoile éclairant le parterre de verdure flamboyant,
L'adulte qui était enfant libère ses derniers souffles d'illusion…
Cet ange doté d'une couleur noire,
Efface l'empreinte des chaînes qui l'emprisonnent…
Abandonnant toutes les pensées qui l'empoisonnent,
Avant, dans l'éternel, de choir…
Son corps inerte effleure le sol boueux,
Une légère pluie naît…
Habillant le papillon d'un vêtement fait d'eau de rosée,
Faisant voler l'âme perdue au-dessus de l'étoile argentée, des cieux si convoités…
mercredi 7 juillet 2010
Un ange passe.
Ce faquin d'Arlequin combine
L'enlèvement de Colombine
Et pirouette quatre fois.
Colombine rêve, surprise
De sentir un coeur dans la brise
Et d'entendre en son coeur des voix.
mardi 6 juillet 2010
lundi 5 juillet 2010
Danse onirique, offrande à un ami
Danse onirique, offrande à un ami, première mise en ligne par Véronique Delaux - En mode Off /Off for some time.
Tonalités naturelles (lumière du couchant en arrière plan)
Si tu passes par là, ô mon Ami si lointain,
Si tu restes fidèle à nos échanges passés,
Que ces mots posés sur ce frissonnement,
Comme hier, te touchent encore demain...
Sur tes images, ma plume si souvent j'y ai posé.
Et Toi, fan de mes poèmes d'un trait s'égrenant,
Touchant ton coeur, ton âme, tes tourments humains.
Alors, si tu t'arrêtes ici, devant cette danse folle et dorée,
Telle un onirique prémice, fête d'un printemps renaissant
Souviens toi et accepte ce rêve, tel un présent sur ton chemin.
Véronique Delaux - 06-juin-2010
dimanche 4 juillet 2010
samedi 3 juillet 2010
Rasade 2010 Halima Echaoui Rabat Maroc.
Technique mixte, acrylique + matériaux sur bois, bas-relief, 100x200 cm.
RASADE
Des rayons d'ombelles
S'élèvent dans le ciel
Épanouies et fières
Racines sous terre
Arrosées de culture
Pure et mure
Un flux de blagues
Les entraîne dans le vague
Des âmes qui vacillent
Encerclées de manies
Où elles perdent leur vade
Pour se fondre dans la rasade
Halima Echaoui 2010
Téléchargé par echaouihalima le 11 jun 10 à 6:12 (CEST).
vendredi 2 juillet 2010
Roses
Roses des Reines ,ou Reines des Roses ?
Je me tâte!
T'aime bien la Tâte hein ?
Mais c'est de la tarte !
Et une Rose,c'est plus joli ,
que six Roses!
Mais six roses des fois,
C'est mieux qu'une Rose fanée!
Offrir une Rose de bonne heure ,
C'est bien !
Car la Rose est du matin !!!!
Téléchargé par montestier le 13 jun 10 à 12:15 (CEST).
jeudi 1 juillet 2010
Pour les grands de ce monde !
Un Enfant,
Noir,jaune ,rouge ou blanc,
Petit ou grand ,
Malade ou bien portant,Sous la pluie ou le beau temps,
A le droit de temps en temps,
De regarder loin devant!
Mais pour l'instant,
Son avenir dépend
Des décisions des grands.
Il est inquiet de ce qu'il entend.
Mais s'il se défend ,
De temps en temps,
C'est lui qui perd tout le temps!
Messieurs les grands,
Pitié pour les petites gens.
Vous gagnez beaucoup d'argent
Sur le dos de ces enfants!
Mais dans le temps,
Il y a très longtemps ,
Très très longtemps!
N'avez vous pas été vous aussi des enfants ??????
Téléchargé par montestier le 13 jun 10 à 12:45 (CEST).
